Deux preuves que c’est maintenant « cool » vivre à Toronto

Le Canadien comptera sur Max Pacioretty, Jonathan Drouin, Alex Galchenyuk, Brendan Gallagher et Artturi Lehkonen afin d’animer son attaque. Si je fais quelques pas de côté vers Toronto, les Leafs auront des acteurs principaux comme Auston Matthews, Mitch Marner, William Nylander, Nazem Kadri, James van Riemsdyk et le nouveau venu, Patrick Marleau. Sans omettre les acteurs secondaires d’excellentes qualités comme Tyler Bozak ou Connor Brown.

Le Canadien n’a pas à être gêné, j’ai entendu ça lors de certaines discussions hockey pendant la saison estivale. Pardon? Peut-être que le titre du texte suivant est un tantinet exagéré, mais cette attaque (des Leafs) demeure plus dévastatrice que celle du bleu-blanc-rouge.

Même que l’attaque des Leafs s’est faufilée au cinquième rang la saison dernière, derrière les Rangers, les Caps, le Wild et les Penguins.

Pour revenir au gros quintette des Leafs, Matthews, Marner, Nylander, Kadri et JVR, ils se sont inscrits sur la carte de pointage, dans la colonne des buts à 142 reprises en 2016-17. Ce n’est pas rien. Le quintette du Canadien de la saison dernière, composé de Pacioretty, Paul Byron, Lehkonen, Alexander Radulov et Galchenyuk en a marqué 110. Puis, disons que la qualité du noyau n’est vraiment pas la même qu’à Toronto… Souhaitons que celui de 2017-18 soit plus dynamique, ce qui serait tout de même fort surprenant.

Au final, avec les pions que les Caps, les Rangers et le Wild ont perdus, je ne serais aucunement surpris d’apercevoir les Leafs traîner au sommet de la colonne des buts marqués la campagne prochaine. À Toronto, les gens ont maintenant une équipe de hockey très dynamique… et une équipe de baseball (les Jays), qui attire une tonne de Torontois dans son Rogers Centre.

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