Ce matin, j’étais dans mon lit à relaxer et je parcourais les réseaux sociaux, quand je suis soudainement tombé sur cette information :
Aussitôt, ça s’est mis à rouler dans ma tête. De vieux souvenirs ont refait surface rapidement. À l’époque où je couvrais les activités des Voltigeurs de Drummondville, j’ai obtenu la même information. Dans ce temps-là, Boucher n’était plus avec les Voltis, mais avec le Lightning de Tampa Bay. C’était en 2012-13, la dernière année qu’il a passée derrière le banc du Lightning.
Cette année-là, une source m’a indiqué exactement les mêmes propos qui roulent sur Guy Boucher aujourd’hui : Les joueurs ne sont plus capables de le sentir. Un gars avec un ego démesuré, mais surtout, intense comme aucun être humain ne peut l’être dans la vie. Donc, lorsqu’une telle information sort, je n’ai pas de difficulté à y croire. J’ai donc fait une petite investigation afin de me faire confirmer le tout. Le retour fut positif. Guy Boucher n’a pas la cote dans le vestiaire, mais alors, vraiment pas.
La première année qu’il débarque au sein d’un vestiaire, tout se passe bien. Son message passe, les gars sont crinqués par son approche différente et unique, mais ce message ne tient pas longtemps. Après une saison, les gars se tournent contre lui. Carrément. Juste son regard lors d’un match indique le genre d’intensité qu’il emploie tous les jours avec son groupe. Ça peut fonctionner chez les juniors, mais chez les grands, c’est un autre scénario.
Bref, si jamais Pierre Dorion décidait de le limoger hâtivement, Marc Crawford serait fort probablement l’heureux élu. Les joueurs ont-ils avisé l’organisation de ce phénomène? Je n’en ai aucune espèce d’idée.