Logan Mailloux : au tour de Desjardins de se sentir inconfortable

Hier, mon collègue William Thériault écrivait que St-Hubert n’était pas à l’aise avec la décision du Canadien de repêcher Logan Mailloux. L’entreprise envisage de se dissocier du Canadien.

En ce moment, il est d’ailleurs impossible d’acheter des chandails du Rocket. 1 + 1?

Certains se demandaient si cela allait créer une vague du genre et la réponse semble être oui.

Justin Trudeau, premier ministre du Canada et partisan avoué de la Flanelle, a pris la parole pour annoncer qu’il est mal à l’aise avec la situation.

On parle d’un intervenant qui n’est pas relié au monde du sport.

C’est la même chose pour plusieurs journalistes, éditorialistes et chroniqueurs qui ne sont pas attitrés au sport.

Le dossier a bel et bien pris une tendance sociale. Que ça plaise ou non aux gens, c’est rendu un débat de société.

Vous avez tous un membre de votre famille qui ne connait pas le numéro de Carey Price et qui a une opinion sur la situation.

Revenons aux partenaires commerciaux.

Dans les faits, en ce moment, Desjardins est aussi à ajouter au nombre des entreprises inconfortables dans le dossier. L’entreprise, qui est un partenaire commercial du CH, n’est pas à l’aise en ce moment.

Contacté par TVA, Desjardins a affirmé ceci : « Nous avons communiqué avec le Canadien hier pour obtenir des explications et partager notre inconfort par rapport à cette décision. »

Visiblement, on voit que le Canadien sent la soupe chaude. L’organisation a annoncé qu’un communiqué est dans les plans afin de clarifier le dossier.

Il sortira d’ici 24 heures. Est-ce que ce sera pour annoncer que le CH renonce au choix? Je ne sais pas. Nous en saurons plus en temps et lieu, mais on sent que la vague commence à faire des ravages.

Ne reste qu’à évaluer les dégâts.

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