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0 en 20 en avantage numérique (matchs préparatoires) : Martin St-Louis doit brasser sa soupe

C’est Martin St-Louis qui va s’occuper de l’avantage numérique cette saison.

Il remplace Alex Burrows, puisque ce dernier ne sera pas de retour derrière le banc du Canadien de Montréal.

Comment ça se passe jusqu’à maintenant avec l’avantage d’un homme en matchs préparatoires, donc ? La réponse est simple : le club n’est pas capable de marquer et on l’a encore vu hier soir face aux Leafs (0 en 7).

Évidemment, les matchs n’ont pas d’importance au classement… Mais il est tout de même pertinent de noter que le CH a eu 20 occasions en avantage numérique depuis le début de la présaison, et il n’en a pas profité une seule fois.

Pas une. 

0 en 20 en avantage numérique, que ce soit durant la saison ou durant le camp d’entraînement, on s’entend que ce n’est pas idéal.

C’est sûr que le moment est parfait en ce moment afin d’essayer certains trucs, mais il doit quand même y avoir des résultats pour faire avancer les choses.

Martin St-Louis doit trouver des solutions…

(Crédit: Getty Images)

En parlant de solutions, est-ce que l’une d’entre elle pourrait impliquer Lane Hutson ?

Vous savez où je m’en vais avec ça…

Je pose la question parce que dans le match d’hier, la 2e vague de l’avantage numérique (avec Hutson comme QB) a vraiment été meilleure que la première.

Cela dit, Hutson a tellement l’air confortable sur la patinoire en pareille situation qu’il pourrait à mes yeux déloger Matheson du PP1. Ça ne coûte rien l’essayer et si ça ne fonctionne pas, ça ne fonctionne pas.

Parce que le problème, c’est que le Canadien doit marquer en avantage numérique s’il veut gagner plus de matchs cette saison. La blessure de Patrik Laine pourrait faire mal à ce niveau-là, mais St-Louis devra vivre avec et il devra créer un système qui marche sur la patinoire.

Il y a beau avoir du talent entre Matheson, Suzuki, Caufield, Dach et Slaf… Mais on dirait tout simplement que ça ne clique pas. 

En rafale

– Le portrait du ballottage aujourd’hui :

– Hello, boys !

– Ouain.

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