La croyance qui veut que la COVID-19 n’affecte pas les jeunes joueurs en santé de la LNH est fausse. Évidemment, on sait que les chances de voir un jeune homme en pleine forme physique être ravagé par le virus sont plus minces… mais une fois qu’un gars l’a, ça peut faire du dommage.
On se souviendra que les Blues sont passés proche de la catastrophe. Après tout, il y a eu une éclosion de cas lors de la Phase 3 de la relance des activités de la LNH, ce qui les avait forcés à fermer leur centre d’entraînement.
C’est quelque chose qu’on a tendance à oublier, considérant que la LNH est COVID-free depuis son arrivée dans les bulles canadiennes. Ceci dit, cela a affecté les joueurs des Blues, qui ont eu un camp d’entraînement désorganisé.
Résultat? Selon les estimations de l’équipe, environ 20 % des joueurs ont eu le virus.
St. Louis Blues GM Doug Armstrong says that 20% of the Blues roster had COVID-19 prior to Phase 3 of the return to play program and that it effected their fitness level throughout Phase 3 and 4. pic.twitter.com/nl6cQz2T9J
— Complete Hockey News (@CompleteHkyNews) August 26, 2020
Mais ce n’est pas tout : cela a affecté leur entraînement personnel.
Sans parler de la cohésion d’équipe, qui n’était pas eu rendez-vous.
Armstrong said COVID affected Blues differently. Some lost weight. Some couldn't work out. "It wasn't that they had it and didn't feel anything," said Armstrong.
Might be the first team to admit COVID infections impacted play.
— Greg Wyshynski (@wyshynski) August 26, 2020
Est-ce que cela sonne comme une excuse? Je ne le vois pas ainsi. Je le vois plus comme une équipe qui explique la réalité d’une pandémie qui affecte tout le monde.
Certains gars perdaient du poids sans rien faire. Ce n’est pas normal.
Il faut bel et bien souhaiter que tout le monde s’en soit remis… et espérer pour que la bulle de la LNH ne soit pas touchée.