À Montréal, le nom de Saku Koivu a été et sera toujours populaire.
Après tout, on se souvient de lui parce qu’il a été le capitaine du Canadien pendant pas moins de 10 ans. Il aura joué à Montréal dans une phase difficile pour le club sur la patinoire, mais quand même.
Son numéro ne sera jamais retiré dans les hauteurs du Centre Bell, on s’entend… Mais il fait quand même partie de l’histoire de l’organisation montréalaise.
Visiblement, le leadership était un élément important dans sa famille parce que son frère, Mikko, a lui aussi rempli le rôle de capitaine pour le Wild pendant plusieurs saisons.
Dans toute l’histoire de la LNH, seuls deux « Koivu » ont disputé un match en carrière et il s’agit des deux principaux acteurs dont il est question depuis le début de l’article.
Ceci dit… Il pourrait y en avoir un troisième d’ici peu puisque Aatos Koivu, le fils de Saku, est admissible au repêchage 2024.
Le seul problème, par contre… C’est que selon les données d’Elite Prospect, Aatos est listé à 5 pieds 11 pouces… Et 126 livres.
Il devra ajouter du muscle s’il souhaite joindre les traces de son père et de son oncle :
Saku Koivu's son (Aatos Koivu) is eligible for the 2024 draft.
He may weigh 126lbs (according to EP) but y'all better BELIEVE we're drafting this kid! We'll get that weight up with a healthy daily dose of poutine.#GoHabsGo https://t.co/8dNrfxpLbX
— Habs Chronicle (@HabsChronicle) September 14, 2023
Mais Aatos n’a que 17 ans et il a encore le temps de grossir. Ça va prendre beaucoup de poulet, de riz, des légumes… Et il devra s’entraîner comme un défoncé pour atteindre ses buts.
Parce qu’à 126 livres, il faut déjà oublier le projet.
Cela dit, il n’est peut-être pas le plus grand, mais il n’est pas le plus petit non plus. Il est déjà plus grand que son père, alors que Saku mesure 5 pieds 10 pouces selon ce qui est inscrit sur Hockey DB.
Imaginez à quel point ça pourrait être cool, voir le fils de Saku être repêché dans la Ligue nationale. Ce dernier a pris sa retraite en 2014 et dix ans plus tard, ce serait au tour de son fils, d’être repêché par une équipe de la LNH.
Le sentiment serait sans contredit très spécial.