Ales Hemsky croit que le destin l’a ramené au Québec

Le nouvel ailier droit du Canadien, Ales Hemsky, ne figure jamais au sein du top-6 « spéculatif » des spécialistes. Est-ce dû à ses visites à l’infirmerie? Je crois davantage que les sommets qu’il a atteints à l’époque des Oilers d’Edmonton font en sorte que plus personne ne le voit comme un ailier de premier niveau. Cependant, le nouveau numéro 83 du Canadien semble confiant, lui.

L’an passé, il a enfilé l’aiguille à quatre reprises en 15 matchs. En 2015-2016, il n’a récolté que 39 points (en 75 rencontres) et la saison précédente, 32  en 72. Ses derniers moments forts remontent à son séjour avec les Sénateurs d’Ottawa, où il a récolté 17 points en 20 joutes. Lorsqu’il enfilera l’uniforme du Tricolore pour la première fois, il amorcera sa 15e année au sein de la Ligue nationale. À 33 ans, je ne crois pas qu’il aura un réveil soudain offensivement, mais peut-être qu’il pourrait atteindre le plateau des 40 points.

Pour Hemsky, retrouver le Québec est peut-être une histoire de destin. Peu importe. Le Tchèque trouve qu’il cadre parfaitement avec l’équipe grâce à sa vitesse, sa vision et son talent de passeur, de son propre aveu. Pourrait-il camper le rôle de fabricant de jeux pour Max Pacioretty?

Pacioretty, Phillip Danault et Hemsky… peut-être que Claude Julien tentera l’expérience avec cette combinaison. Qui sait?

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