Alex Burrows : l’offre du Canadien n’était pas sa première pour graduer dans la LNH

Pour la première fois depuis son embauche, Alex Burrows s’est adressé aux médias du Canadien en direct de Vancouver. Il a donc été questionné sur ce qu’il a ressenti en obtenant le poste, mais aussi sur ce qu’il fait pour aider l’avantage numérique du CH.

Pour ceux qui veulent l’écouter, c’est ici que ça se passe.

Ce que je retiens de prime abord, c’est le fait que Burrows a toujours été un gros fan du Canadien. Il raconte qu’à Vancouver, il voulait toujours regarder les matchs du Canadien. Avec le décalage horaire, il faisait toujours cela avant ses propres matchs.

C’est ce qui fait en sorte qu’au moment où sa carrière battait de l’aile à Ottawa et qu’il a eu l’offre de la part de l’organisation du Canadien, il n’a pas voulu refuser. Il voulait voir s’il avait ce qu’il fallait pour en faire une carrière.

Est-ce qu’il s’attendait à arriver à Montréal si rapidement? La réponse est non. Ceci dit, on peut se dire qu’il espérait que cette offre arrive puisque Burrows a avoué qu’il avait refusé des offres de la part d’autres organisations pour débarquer dans la LNH.

Au cours des deux derniers étés, le timing n’était pas bon pour sa famille et lui. Il ne voulait pas déraciner ses jeunes enfants à tout prix.

D’avoir la chance de demeurer à Montréal était, pour lui, une occasion idéale.

Il se voit donc gagner la Coupe derrière un banc de la LNH, lui qui rêve d’ajouter cet exploit à son tableau de chasse. Et de le faire avec son club favori serait évidemment magique.

Prolongation

– Alex Burrows doit faire fonctionner sa première vague d’avantage numérique, mais il n’est pas inquiet pour Shea Weber.

– J’ai écouté toute la conférence. Je confirme : il a de la jasette!

– Sa promotion a été tellement rapide qu’il n’a pas eu le temps de dire au revoir à ses enfants avant de rejoindre le CH.

– Burrows ne veut pas changer.

– Antoine Roussel est un gars qui se concentre sur son match – et on respecte ça.

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