Alex Galchenyuk est passé des Coyotes aux Penguins en retour de Phil Kessel avant l’amorce de la campagne 2019-20 et depuis qu’il est à Pittsburgh, ça ne tourne pas en sa faveur. En début de saison, l’ancien 3e choix au total du Canadien de Montréal en 2012 devait composer avec une blessure «persistante» au bas du corps, ce qui lui a empêché de bien s’acclimater à son nouvel environnement.
“I had to restart EVERYTHING.”
A candid Alex Galchenyuk revealed regrets about his early injury and why he isn’t letting a lousy first 41 games define his season. Read about it via @TheAthleticPGH #Pens https://t.co/5HxEleIs2r— Rob Rossi (@Real_RobRossi) January 31, 2020
D’ailleurs, au sujet de cette fâcheuse blessure, Chucky a révélé certains regrets face à celle-ci, qu’il a subie tôt en début de saison, et pourquoi il ne laisse pas ses 41 premiers matchs définir sa saison. Il est conscient qu’il n’est/était pas à la hauteur. Sa récolte de points, 16 en 41 rencontres, n’a absolument rien de reluisant et ce gros creux a alimenté plusieurs rumeurs à son sujet. Jim Rutherford ne s’est jamais gêné pour indiquer qu’il pourrait un jour être rayé de l’alignement ou même échangé. Bref, le bye-week était tellement nécessaire pour Galchenyuk…
«Je veux dire, chaque fois que vous ne vous sentez pas bien dans votre jeu ou pas génial en général ou quoi que ce soit, c’est bon de partir. Nous avons eu un calendrier difficile. Tous les vols et les matchs consécutifs, tout ça… C’était sympa de retourner à la maison, pour se réveiller, regarder l’horloge et être, comme, ‘Oh ouais, je n’ai rien à faire’.» – Galchenyuk
Il est déçu, mais il détient son avenir entre les mains, à lui de travailler en conséquence… Et ce type de discours, soit de se réveiller et n’avoir rien à faire, ça peut titiller un brin.
Par contre, une anecdote «positive» s’est produite lors de son arrivée à Pittsburgh. Lorsqu’il a pris un taxi pour la première fois, pendant le camp d’entraînement, le chauffeur du taxi lui demandait s’il connaissait le joueur obtenu en retour de Kessel… sans savoir que c’était lui qui était assis à l’arrière. Le chauffeur cherchait comment prononcer son nom et Galchenyuk l’a aidé.
«Je lui ai dit que j’étais sûr de ma façon de dire que c’était la bonne. Je ne pense pas qu’après être sorti, il m’a cru.» – Galchenyuk
Pour lire le billet en entier, composé par Rob Rossi, ça se passe ICI.