Le marché des agents libres s’ouvre aujourd’hui… et ne soyez pas désappointé à la fin de la journée puisque je vous l’annonce tout de suite, le Canadien ne DEVRAIT pas faire de magie. C’est un feeling puissant que, tout comme certains d’entre vous, j’ai à l’intérieur. On a parlé d’Antoine Roussel et Tomas Plekanec de façon très intense, sans réellement parler de grosses pointures. Hier, mon collègue Max Truman a publié un tweet indiquant qu’un certain Alexandre Grenier (son agent) avait des discussions sérieuses avec Marc Bergevin.
On me chuchote qu'il y a des discussions (sérieuses) entre l'agent d'Alexandre Grenier et Marc Bergevin
— DansLesCoulisses (@DLCoulisses) July 1, 2018
En jasant à mon tour avec un contact régulier, on m’a indiqué que Grenier s’alignait fort probablement à signer un accord à un volet avec le Rocket de Laval. Un dossier similaire à celui d’Éric Gélinas la saison passée.
Le gaillard de 6 pieds 5 pouces et 200 livres est d’ailleurs natif de Laval, donc ce serait fabuleux d’amener un gars de la place. L’ailier droit de 26 ans a été sélectionné en 2011, en troisième ronde, par les Canucks de Vancouver. Il ne sait jamais imposé dans la grande ligue, lui qui n’a joué que neuf parties, où il n’a récolté aucun point. Par contre, dans la Ligue américaine, il se démarque considérablement.
En 2011-12, il a évolué chez les Mooseheads alors que Dom Ducharme était le pilote du groupe. Cette année-là, Jonathan Drouin est arrivé avec l’équipe (il a joué 33 matchs, où il a récolté 29 points).
Pour ceux qui l’ignoraient, Grenier a gagné le titre du tir le plus puissant de la AHL en 2018, un tir plus puissant que celui d’Alex Ovechkin. Donc, oui, on le veut à Laval. Une signature qui ne comporte aucun risque et qui donnera un sourire aux gens de Laval, qui verront un gars originaire de la place arborer l’uniforme du Rocket de Laval.
Au final, pour ceux qui désirent savoir ce que Marc Bergevin dira le 2 juillet au matin, vous n’avez qu’à parcourir un billet du site Balle Courbe à partir d’ICI.