J’aime Alexander Romanov.
J’aime le voir frapper l’adversaire sur la patinoire.
J’aime le voir bouger la rondelle en power play, n’hésitant pas à se promener le long de la ligne bleue adverse.
J’aime l’entendre dire sur un ton confiant qui frôle l’arrogance sans pour autant lui toucher qu’il ne se considère pas du tout comme une recrue… qu’il voit chaque joueur de la même façon (et selon le même statut) une fois sur la patinoire.
J’aime le voir sourire sur la glace, mais aussi sur les réseaux sociaux. Ça fait du bien, un peu de joie de vivre dans nos vies.
Je suis prêt à dealer avec ses quelques passes imprécises et ses quelques erreurs défensives. Il vient d’avoir 21 ans et n’a que 14 matchs derrière la cravate (dans la LNH). Et ce n’est pas parce qu’il n’a récolté qu’un seul point lors de ses 11 derniers matchs que je vais cesser de l’apprécier.
Et vous savez quoi? J’ai aimé apprendre ce matin qu’il avait visité Montréal lorsqu’il avait 12 ans (avec son équipe russe) pour y jouer au hockey et qu’Andrei Markov avait joué le guide pour Romanov et ses parents.
Alexander Romanov visited Montreal when he was a kid and was given a tour by none other than Andrei Markov.
What a cool story.
(Photo courtesy of Alexander Romanov/The Athletic)#Habs pic.twitter.com/0iteeO10Dn
— Habs Chronicle (@HabsChronicle) February 15, 2021
Markov était l’idole de Romanov à cette époque et le kid a dû passer tout un moment en sa compagnie. Peut-être que ça lui a même apporté une dose de motivation supplémentaire afin de continuer de croire en son rêve d’un jour jouer dans la LNH à son tour? Rêve qu’il a atteint il y a quelques semaines…
Romanov se veut justement une sorte de mix entre Markov et Emelin. Hâte de voir jusqu’où il pourra se développer.
Pourvu qu’on ne le sorte pas de l’alignement à nouveau…