Andrei Markov est déjà idolâtré dans la KHL

Le match inaugural de la saison 2017-2018 du Canadien sera particulier : un grand bassin de partisans plus jeune n’a jamais vu leur équipe favorite évoluer sans leur général, Andrei Markov, qui est retourné dans son pays natal après un séjour de seize ans au Québec.

Ce changement de décor ne s’avère pas qu’étrange que pour la population québécoise : de son propre aveu, le principal intéressé avoue que ce retour au bercail lui semble bizarre.

Le général semble toutefois avoir surmonté la mélancolie affichée lors du point de presse soulignant son départ, affirmant qu’il sera prêt à tout sacrifier sur la surface glacée afin de répondre aux attentes à son endroit.

Ça aura pris du temps, mais maudit que la vie à Montréal lui a permis d’apprendre à répliquer aux questions des médias avec panache!

D’autant plus que les attentes seront démesurées à l’endroit d’Andrei Markov, en Russie.

Instantanément, l’ancien du Canadien est considéré comme l’un des huit meilleurs arrières de la KHL par ce média russe.

Celui-ci n’y va pas de mains mortes le qualifiant même de légende vivante, chef d’orchestre, leader et de défenseur robuste (espérons que Google Traduction m’ait trahi dans le cas de ce qualificatif particulier…).

À 38 ans, Markov saura-t-il cadrer à ces immenses attentes?

Être un passeur est beaucoup plus amusant lorsque certains joueurs dans ta formation sont aptes à compléter tes jeux…

L’an dernier, aucun patineur du AK Bars, nouvelle formation du vétéran, n’a su surpasser la barre des 35 points. On ne parle pas ici d’un énorme support offensif…

Au moins, les choses semblent bien débuter pour Marky qui n’a pas mis de temps à amasser sa première mention d’assistance avec sa nouvelle équipe.

Aura-t-il ce qu’il faut pour effectuer un retour en Amérique à l’échéance de son contrat?

Respirons d’ici là, OK?

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