Antoine Roussel a parlé du cadeau qu’aimerait avoir Alex Burrows

L’avantage numérique des Canadiens de Montréal n’a rien d’électrisant, ce qui amène une grosse vague négative au visage d’Alex Burrows, qui s’essuie et recommence trop souvent. Si celui-ci pouvait se tourner vers un William Nylander, par exemple, ça modifierait sans aucun doute la donne.

C’est d’ailleurs les propos qu’a tenus Antoine Roussel lors de sa récente chronique via le 98,5 Sports, tout en précisant que l’avantage numérique n’était pas assez rapide.

Pour animer une attaque massive, ça prend un chef d’orchestre que les Canadiens ne possèdent pas en ce moment. Cole Caufield en est un, mais jusqu’ici, il est très loin de ses standards, n’aidant pas Alex Burrows dans sa détermination à transformer cette facette.

Avec un taux de réussites de seulement 17% (23e rang de la LNH), tous les fanatiques des Canadiens de Montréal critiquent le schéma de Burrows, l’homme responsable de l’attaque à cinq depuis son embauche. Il reçoit un lot de critiques très sévères, alors que Martin St-Louis fait également partie de la solution pour le power play.

St-Louis était un joueur dominant dans toutes les facettes du jeu, dont l’avantage numérique, ce qui lui permet de jeter un coup d’œil derrière l’épaule de Burrows. Par contre, il est certes conscient, tout comme Burrows, que ça prend un talent comme Nylander ou un Matthews pour animer un PP.

La première vague compte sur les meilleurs du groupe, mais avec les absences de Kirby Dach et Alex Newhook, on retrouve les «restants» sur le 2e quintette. Peu importe les acteurs actuels, personne ne peut dire l’inverse: ça prend un joyau au sein de ce groupe en manque de vedette(s).

Si Kent Hughes souhaite accélérer un tantinet son «remodelage», il devra se servir du marché des agents libres afin de colmater ce trou très large. Parce que, honnêtement, aucun joueur actuel et aucun espoir ne possèdent le potentiel de superstar (à l’attaque, du moins).

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