L’an passé, à Montréal, on a eu droit à Corey Perry. Le CH y a trouvé un leader, un joueur clutch, un travaillant et un gars qui était taillé sur mesure pour amener le club au prochain niveau.
C’est exactement ce qu’il avait offert aux Stars l’année d’avant. C’est aussi ce qu’il avait offert aux Ducks par le passé. Et devinez quoi? C’est ce à quoi le Lightning a droit présentement.
De l’avis de tous ses coéquipiers, il est un excellent meneur et il fait tout ce qu’il doit faire, via son expérience, pour aider les siens à gagner la Coupe, qui lui échappe depuis deux ans.
Parce que oui, il l’a gagné à 22 ans à Anaheim. Mais depuis deux ans, il a perdu avec les Stars et le Canadien contre le Lightning, justement.
Mais personne ne les dépasse. À la quantité de bons joueurs qui jouent là, personne ne fait mieux que Corey Perry.
Through the first two rounds, Corey Perry shares the goal-scoring lead for the star-studded Lightning. But he's more than a scorer. @SachdevaSonny takes a look at what the veteran brings beyond goals. https://t.co/YcSWDiJe7b
— Sportsnet (@Sportsnet) May 25, 2022
Évidemment, Scorey Perry n’en est pas à son premier barbecue. Il comptait 45 buts en carrière en séries avant de signer en Floride. Il sait donc clairement comment marquer rendu en séries.
11 joueurs ont plus que lui en séries cette année. Kirill Kaprizov, éliminé en première ronde, en a sept.
Mais parce que la pression de marquer n’est pas sur les épaules de Perry, cela fait en sorte que c’est du « bonus », en quelque sorte. C’est ce qui fait la marque des grandes équipes.
L’an passé, à Montréal, il a marqué quatre fois en 22 matchs de séries. À Dallas? Cinq fois en 27 joutes. Il a donc clairement trouvé la fontaine de Jouvence dans la cachette secrète de Tom Brady, lui aussi revigoré par sa signature à Tampa Bay.