Plusieurs ont critiqué l’acquisition de Ben Chiarot, cet été, puisqu’il est un défenseur à saveur défensive qui ne se démarque pas particulièrement lorsqu’il a le disque sur sa palette. Par contre, le jumeler à Jeff Petry permettra au Canadien de miser sur les plus belles qualités des deux défenseurs : l’un d’eux sait produire des points et l’autre est extrêmement dur à affronter.
Les coéquipiers de Chiarot l’ont d’ailleurs encensé après leur premier entraînement, comprenant automatiquement pourquoi il est important au sein d’une équipe.
L’entraîneur-chef du Tricolore Claude Julien a mentionné qu’il était exactement comment on le lui avait décrit :
«Il est un gros défenseur physique. Nous avions besoin de ce genre de joueur. Nous avions besoin du côté robustesse au sein de notre brigade défensive. Je sais qu’il fait également de bonnes premières passes. Il veut toujours travailler.»
Ses coéquipiers ont quant à eux pu voir de leurs propres yeux et ressentir l’effet Chiarot, sur la patinoire. Il est gros, ne se laisse pas imposer et se bat dans les coins. Il a été intense lors des premières séquences simulées, mentionnant qu’il avait très hâte de pouvoir montrer ses vraies couleurs.
«Il va surprendre beaucoup de gens par son efficacité. Il va remplir un rôle qui sera important pour nous.» -Brendan Gallagher sur Ben Chiarot
LIRE ➡️ https://t.co/Wf8ZaEH9te#GoHabsGo
— Canadiens Montréal (@CanadiensMTL) September 13, 2019
La combinaison de mots qui revient : «difficile à affronter».
C’est le cas pour Paul Byron et Brendan Gallagher, deux attaquants à format plus petit. Voici ce que le #11 avait à dire sur le défenseur qui a signé avec l’équipe au début du mois de juillet :
«Il fait plusieurs choses de la bonne manière. Il est très difficile à affronter. C’est un joueur qui est le fun à affronter dans les entraînements, car il va toujours travailler fort et te pousser à te dépasser. Il va surprendre plusieurs gens par son efficacité. Il va remplir un rôle qui sera important pour nous.»
Chiarot a mentionné qu’il n’avait pas de préférence quant à son partenaire chez les défenseurs, mais qu’il a toujours mieux fait lorsque jumelé à un défenseur offensif. C’est ce qui risque d’arriver à Montréal, ce qui offre aux amateurs des raisons d’être optimistes.