Même s’il marque des buts à un train d’enfer depuis le début de la saison, les choses ne se passent pas nécessairement bien pour Bo Horvat et ses Canucks.
La formation dispose d’une fiche de 12-13-3 (ce qui n’est pas nécessairement atroce) et cherche encore à trouver son rythme cette saison. Le hic, par contre, c’est que les attentes étaient très élevées en début de campagne et que le club n’est pas censé se retrouver avec une fiche en bas de la barre du .500 à ce stade-ci de la saison.
On dirait que les Canucks sont en reconstruction depuis cinq ans et qu’ils ne sont jamais en mesure de trouver une formule gagnante. C’est peut-être ce que s’est dit le capitaine de la formation lorsqu’il a refusé la dernière offre de contrat que les dirigeants à Vancouver lui ont déposé.
Résultat? Bo Horvat se retrouve maintenant sur le marché des transactions. Et vous savez comme moi que son nom va générer beaucoup, beaucoup d’attention d’ici la date limite des transactions dans la LNH.
Further to @DhaliwalSports’s report, told that the Canucks made Horvat’s camp the new contract offer a couple of weeks ago. With the offer rejected, Canucks focused on the trade market between now and March 3 https://t.co/7aWU39ucCD
— Pierre LeBrun (@PierreVLeBrun) December 12, 2022
Après Patrick Kane et Timo Meier, voilà qu’un autre gros nom s’ajoute à la discussion des très bons joueurs qui devraient être disponibles d’ici le 3 mars prochain.
Ce n’est pas pour rien qu’il porte le « C » sur son chandail. Il est le meneur des Canucks depuis déjà quelques années… Mais n’a jamais été capable de « flipper la switch » et faire en sorte que la formation de Vancouver se replace sur le droit chemin.
Or, je garantis que les différentes équipes de la LNH n’hésiteront pas à payer le gros prix pour faire l’acquisition de ses services malgré tout.
Les chances de le voir rester à Vancouver semblent être minimes, voire pratiquement nulles…
Est-ce une question de temps avant de le voir changer d’adresse? Notons également qu’il en est à sa toute dernière saison du contrat de six ans qu’il avait signé avec les Canucks, en 2017.