Bob Hartley est maintenant associé à la KHL… et à la Lettonie. L’entraîneur de carrière, qui a gagné à peu près partout où il est passé, est en Russie depuis quelques années déjà et il est bien heureux de son choix.
Pourquoi? Parce qu’il a la chance de tenter de gagner un nouveau trophée. Il en a déjà plusieurs sous la cravate et il veut en amasser un de plus.
À ses yeux, le faire avec l’Avangard d’Omsk est idéal puisqu’il est bien traité et parce que ses chances de victoires sont bonnes.
Il a discuté de sa vie en Russie avec Jean-François Chaumont, du Journal de Montréal. Je vous invite à lire l’entrevue à cet effet pour des détails sur sa réalité en Russie.
Le bon @JFChaumontJDM a sorti d'excellents papiers sur le coloré Bob Hartley en fin de semaine. À lire! https://t.co/SUjZKjmX7F
— Stéphane Cadorette (@SCadoretteJDQ) November 2, 2020
Hartley ne veut donc pas quitter l’Avangard. Et comme il ne peut pas non plus, il est clair qu’il va rester là cette saison et en vue de la prochaine, soit jusqu’à la fin de son contrat.
Il me reste cette année et l’an prochain. J’ai promis à l’organisation d’honorer mon contrat. J’aime ça ici et ils me traitent vraiment bien. Je vis une belle expérience. – Hartley
C’est donc dire qu’il peut oublier le retour dans la LNH à court terme. D’ici quelques mois, le Kraken de Seattle se cherchera un pilote (et ils ont visiblement déjà un favori en tête), mais ce ne sera pas lui. Oubliez ça.
D’ici la retraite, les chances de le voir rester dans la KHL sont bonnes. Les chances de le voir à la tête du programme de la Lettonie le sont aussi. Il rêve d’ailleurs d’aller aux Olympiques avec les Lettons.
Et à sa retraite (et celle de Michel Therrien), ne vous étonnez pas de voir un livre sortir sur le traitement des francophones dans la LNH. Je dis ça de même.