Le nom de Brad Marchand continue malheureusement de se retrouver sur les lèvres de tout le monde… Pour les mauvaises raisons.
Les critiques ont fusé de partout, au courant des quelques dernières semaines. Si des journalistes, coéquipiers et joueurs adverses ont désapprouvé sa façon d’agir publiquement, ce n’est qu’aujourd’hui que le propriétaire des Bruins, Jeremy Jacobs, a réagi.
Ce dernier semble réellement à bout de patience, mentionnant qu’il a fait son bout de chemin. Il concède que plusieurs autres équipes adoreraient l’avoir, et qu’il devait donc lui donner une certaine marge de manoeuvre. Cette dernière a toutefois été épuisée, selon Jacobs.
Owner of @NHLBruins on Brad Marchand's penchant for licking opponents: "(All) other teams would love to have him, so there’s a margin that you give him. But, I think he used up that margin." #StanleyCup #NHL https://t.co/YK2YGmZF9v pic.twitter.com/Q8V3en4fkz
— NBC Sports (@NBCSports) May 16, 2018
Ce qu’on voit dans de tels commentaires, c’est un message très clair : une autre connerie, une autre controverse qui embarrasse notre équipe, et c’est fini.
As I was told they did almost two weeks ago, #NHLBruins owner Jeremy Jacobs and President Cam Neely today, definitely made it feel like F Brad Marchand has used up all their patience and if he embarrasses organization again, he's out.
— Jimmy Murphy (@MurphysLaw74) May 16, 2018
On vous rappelle que le #63 s’était dit prêt à travailler sur lui-même, au courant de l’entre-saison, afin de ressembler davantage à un gentilhomme.
Qu’il le fasse ou non, la mèche semble être courte, du côté des Bruins.
Marchand est rendu à un point où il peut être une arme destructive extrêmement dangereuse sans avoir à multiplier les conneries. Ses deux dernières saisons témoignent de son talent offensif qui rendent bien des équipes jalouses.
S’il pouvait redoubler d’ardeur lorsqu’il est question de mettre la rondelle dans le filet et se retenir lorsqu’il s’agit de licher son adversaire, tout le monde serait content. Et il éviterait par la même occasion que l’équipe qui l’a repêché se tanne de lui.
On vous laisse sur une allusion cocasse… et vraie.
I asked #NHLBruins President Cam Neely what would've happened to #BradMarchand if he pulled his licking antics when Neely played:
“It was a different game back then so you can imagine what would have happened”
— Jimmy Murphy (@MurphysLaw74) May 16, 2018