Ça va tellement mal pour Huberdeau que l’idée de le laisser de côté commence à circuler

À sa première saison dans l’uniforme des Flames de Calgary, l’an passé, Jonathan Huberdeau a déçu.

Il a déçu parce qu’il a récolté 55 points en 79 matchs et parce qu’il était très inconstant dans ses performances.

Le Québécois a répété à maintes reprises cet été qu’il était prêt à faire face à la musique et qu’il avait hâte de renouer avec l’action. Il a soutenu que le changement d’entraîneur allait lui faire du bien et que ça allait lui donner plus de liberté sur la patinoire.

Comment se déroule l’expérience, jusqu’à maintenant? Mal. Très mal.

Huberdeau connaît encore beaucoup de difficultés : il a 15 points jusqu’ici cette saison (en 30 matchs)… Et l’idée de le laisser de côté même s’il en santé commence à faire son chemin.

Ça va mal à ce point-là. 

C’est dommage.

Dans les faits, Jonathan Huberdeau est méconnaissable sur la glace. En 2021-2022, avec les Panthers de la Floride, il a récolté 115 points en 80 parties…

Et en ce moment, il peine à produire à un rythme d’un point aux deux matchs.

L’organisation des Flames doit se mordre les doigts en ce moment, d’ailleurs. Huberdeau a entamé la première année d’un contrat de huit ans qu’il a signé en août 2022 et les Flames lui doivent 10.5 M$ par année jusqu’à la fin de la campagne 2030-2031.

Oops. 

La suite des choses sera à surveiller parce que les Flames n’ont pas un million d’options. La valeur du joueur sur le marché des transactions est clairement nulle… Et il serait surprenant de voir l’équipe décider de racheter son contrat sous peu parce que les pénalités vont être tout simplement énormes.

Plus ça va, et plus je me questionne à savoir ce que l’avenir réserve au Québécois… 

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