Ce n’est pas d’hier qu’on remarque que Carey Price est parfois sec avec les journalistes. On peut même dire qu’il est parfoix bête et qu’il n’a clairement pas toujours envie de se livrer à eux. Certaines personnes sur le beat du Canadien de Montréal m’ont souvent confirmé ce que l’on voit de notre télé : À savoir que le moment préféré de Carey Price dans une journée, ce n’est pas son scrum avec les journalistes. Même loin des caméras, Price n’est pas du genre jovial avec les journaleux.
Tony Marinaro l’a souligné d’ailleurs en ondes ce matin. Marinaro trouve que le numéro 31 n’a pas l’air de vouloir parler aux médias. Après la victoire face aux Blue Jackets de Columbus, il a paru bête… Mais, comme François Gagnon lui a rappelé, ça ne date pas d’hier ce genre d’attitude chez Price.
Hier, Llentrevue d’après-match (au centre de la patinoire) a été faite par Brendan Gallagher et non Carey Price. Par contre, ça, c’est pour laisser de la place à ses coéquipiers…
Aussitôt que la rencontre a pris fin, Price a quitté subitement afin de se diriger vers le vestiaire. Un départ qui peut paraître certes hâtif, mais disons que les médias ne l’ont pas lâché lors de son séjour à l’infirmerie. On peut le comprendre d’agir ainsi…
Est-ce la faute de Marc Bergevin et de ses bas du corps-haut du corps?
Les médias sont-ils devenus trop voraces?
Price semble en vouloir un tantinet à quelqu’un pour toutes ces spéculations folles à son sujet.
Une chose semble toutefois certaine. Selon ce que j’entends à travers les branches, Price est facile d’approche avec les partisans (en privé). Il donne de son temps et demeure très généreux avec eux. Ce qui est une bonne chose!
Price a des raisons de ne pas feeler certains membres des médias, mais il doit continuer de respecter les partisans. Quoique les médias sont justement la courroie qui relie les joueurs et les fans…