À Montréal, ça fait longtemps que c’est comme ça : les échéanciers des blessures sont (presque) toujours flous ou trompeurs.
En 2015-2016, le club affirmait que la blessure de Carey Price n’était pas si grave, mais au final, ça lui a couté toute la saison. En 2021-2022, c’est le même tour de piste : Carey Price est encore très loin d’un retour au jeu, Joel Edmundson est incapable d’améliorer sa situation, Mathieu Perreault, également, sa situation est floue et Shea Weber… on ne va pas parler de lui.
Pourquoi, ce n’est qu’à Montréal que les blessures semblent être un sujet controversé?
Dans le Calepin du Canadien (avec @ArponBasu):
🏒Mesures sanitaires: un désavantage compétitif
🏒Non, le futur DG ne sera pas un pantin
🏒Des échéanciers erronés pour les blessés
🏒Coacher pour aujourd’hui ou demain?
🏒Sean Farrell de Harvard à Beijinghttps://t.co/C2A1DlOHBL— Marc Antoine Godin (@MAGodin) January 17, 2022
Chez les autres équipes de la LNH, les joueurs blessés semblent presque toujours bien guérir. Chez le Canadien, toutefois, il y a beaucoup de setbacks dans ses guérisons. Quel est le réel problème? Manque de transparence ou bien simplement que les joueurs sont justes plus fragiles?
J’ose croire que l’arrivée de Chantal Machabée comme VP des communications améliorera cette situation au cours des prochains jours/mois. Elle veut de la transparence et c’est exactement ce que ça prend dans un marché comme Montréal. C’est d’ailleurs elle qui a confirmé, aujourd’hui, que Price doit tout recommencer depuis le début.
Nous à Montréal, on ne veut que cela, de la transparence. Et de toutes les personnes, Machabée, en tant qu’ancienne journaliste, devrait être la personne qui déteste le plus les «… blessé au bas du corps », « …blessé au haut du corps ». Pouvons-nous savoir les détails et l’échéancier exacts de la blessure du joueur en question, s’il vous plaît? Du moins, ne pas tourner autour du pot.