Cole Caufield a fait ses débuts dans la LNH le 26 avril 2021. C’était il y a un peu plus d’un an et demi.
Il vient à peine de passer le cap des 100 matchs de saison régulière dans la LNH et il n’a pas produit pendant 1/2 année, mais malgré tout, suite à son but d’hier contre Seattle, Caufield a déjà marqué contre pas moins de 19 formations de la LNH.
Oui, il est plus facile de marquer contre des clubs de l’Ouest maintenant que les formations des deux associations s’affrontent plus régulièrement, mais quand même : il est encore sur son contrat d’entrée et il a déjà 42 buts en 103 matchs de saison régulière.
Ça se souligne.
Et pourtant, Detroit et Boston sont dans sa division.
Il a marqué contre les autres formations de sa division qui ne sont pas des original six. Dans l’autre division de l’Est, seuls les Hurricanes, les Islanders et les Rangers ne sont pas encore cochés.
Ce n’est pas facile dans la ville de New York.. ni contre les anciennes équipes de son patron, Jeff Gorton.
Cole Caufield, a Wisconsin native, on playing at Madison Square Garden for the first time:
“Every rink you play in is special, but this one being in New York City, it’s a legendary rink. It’s going to be a really special opportunity.”
— Mollie Walker (@MollieeWalkerr) April 27, 2022
Cela veut dire qu’il lui reste sept équipes dans l’Ouest à faire flancher. D’entrée de jeu, il est facile de dire qu’en Californie, Caufield n’a pas encore trouvé la recette miracle.
Les Blackhawks (équipe originale), les Predators, l’Avalanche et les Jets sont encore immaculés. Winnipeg est d’ailleurs la seule ville canadienne contre laquelle il n’a jamais marqué. Il a pourtant affronté les Jets huit fois en carrière, dont quatre fois de suite lors des séries 2021.
Notons qu’il a marqué quatre fois en séries 2021 (quatre buts contre Vegas), mais qu’en saison régulière, il a marqué au moins une fois contre les Maple Leafs, les Golden Knights et le Lightning.
À ce rythme-là, il ne devrait pas forcément avoir de difficulté à marquer bientôt contre 31 équipes. Ceci dit, à moins d’une expansion des cadres de la LNH, il est à souhaiter qu’il ne se rende jamais à 32.