Pendant qu’on analyse en détails tout ce qui passe lors de cette excitante deuxième ronde des séries éliminatoires de la Ligue nationale de hockey, le Championnat mondial se poursuit en Tchéquie.
Jusqu’à présent, on a droit à un très bon tournoi, alors que plusieurs matchs sont disputés à chaque jour.
En effet, il y avait aujourd’hui quatre matchs, dont un opposant les États-Unis à la Pologne.
Sans grande surprise, malgré une belle opposition de la Pologne, les États-Unis l’ont emporté par la marque de 4 à 1.
Ce que l’on retient dans ce match, c’est évidemment la belle performance de l’attaquant du Canadien de Montréal, Cole Caufield, qui a inscrit un doublé dans ce match, soit ses deux premiers buts du tournoi.
Voici les deux buts de Caufield dans ce match.
🚨 Cole Caufield has his first goal of the tournament! @CanadiensMTL | @usahockey | #MensWorlds pic.twitter.com/2KKAm3sEbe
— NHL Network (@NHLNetwork) May 17, 2024
Cole Caufield was once asked what’s his favourite goal, he said: “the next one 😎” pic.twitter.com/quXX2Vfw6f
— /r/Habs (@HabsOnReddit) May 17, 2024
C’est rassurant de voir le franc-tireur du CH trouver le fond du filet, même si c’est contre la Pologne, car ses performances décevantes en inquiétaient certains.
L’attaquant américain a d’ailleurs semblé développer une belle chimie avec Shane Pinto et Brady Tkachuk aujourd’hui, alors que le représentant du CH et les représentants des Sénateurs d’Ottawa évoluaient sur un même trio.
Tkachuk a d’ailleurs obtenu une passe sur chacun des deux buts de Caufield.
L’attaquant du CH compte désormais quatre points (deux buts et deux passes) en cinq matchs au Championnat mondial jusqu’à présent.
C’est bon pour son C.V. s’il souhaite éventuellement faire partie de la sélection américaine lors des prochains Jeux olympiques d’hiver.
Bref, Caufield a aidé les États-Unis à signer une victoire (pas la plus convaincante, mais toute de même), ce qui place désormais les États-Unis au deuxième rang du groupe B derrière la Suède, et tout juste devant l’Allemagne et la Slovaquie (de Juraj Slafkovsky).