Depuis son arrivée dans la LNH, Cole Caufield s’est rapidement établi comme l’un des visages de la franchise chez le Canadien. Que ce soit pour ses habiletés de marqueur ou pour son charisme à l’extérieur de la patinoire, il est rapidement devenu l’un des favoris de la foule.
L’un des favoris d’une foule qui, depuis des années, cherchait un marqueur de buts de grande qualité.
Et l’été dernier, le Canadien s’est assuré de conserver son marqueur de buts à long terme. Caufield a signé un contrat de huit ans pour 7,85 M$ par année, un pacte qui confirmait sa place comme morceau important de l’équipe.
Par contre, ce rôle-là vient avec un peu plus de pression, évidemment… et ça, Caufield en est conscient.
En entrevue avec un journaliste slovaque au Championnat du monde, Caufield a admis que jouer à Montréal, ça peut être stressant par moments.
Q: What is the best part of playing in Montreal and what is the most annoying part of it?
Cole Caufield: „Obviously, it’s a best place to play hockey. Fans are passionate and that’s what makes it fun. It get stressful at times with all the pressure, but we embrace that.“
— Štefan Bugan (@StefanBugan) May 26, 2024
Nos collègues chez HabsEtLNH vous rapportaient eux aussi la nouvelle.
Dans l’ensemble, il a une vision assez positive du marché, lui qui le vante comme l’un des meilleurs endroits pour jouer au hockey et qui aime la passion des partisans. Cela dit, il sait que la passion peut rapidement virer en pression, et il doit composer avec le tout.
On sait que la pression en question l’avait affecté en 2021-22, alors qu’il avait connu un début de saison très difficile au point où il avait été renvoyé dans la LAH. C’est finalement une patinoire municipale de Montréal qui lui avait redonné le plaisir de jouer.
Évidemment, la pression est pas mal plus grande sur les épaules de Caufield, qui a le gros contrat et qui est un gros joueur de talent, que sur des joueurs de profondeur. Et ce n’est pas demain la veille que ça va changer.
La bonne nouvelle, c’est qu’il semble avoir une évaluation positive de Montréal malgré tout. Souhaitons que ça demeure ainsi pour les sept prochaines années (au moins), maintenant.