Connor Bedard a déjà planté les enfants de Nick Foligno au mini-hockey

Quand les Blackhawks de Chicago ont appris que Connor Bedard allait débarquer en ville, le club s’est mis en tête de l’entourer. Sans Patrick Kane et Jonathan Toews, ça allait, en effet, prendre du leadership dans la place.

Corey Perry, Taylor Hall – qui connaît la pression d’un premier de classe – et Nick Foligno sont notamment débarqués en ville. Un de leurs objectifs? Entourer le prochain joyau de la LNH.

Et clairement, on sent que ça se fait. Même si Bedard vit seul, il est bien entouré.

Il est notamment souvent vu avec Nick Foligno. Ce dernier le prend sous son aile sur la glace, comme on peut fréquemment le voir en marge des images qui sont disponibles en provenance de Chicago.

Mais ça se traduit aussi autrement. Après tout, Bedard est parfois invité chez les Foligno pour casser la croûte.

Et la semaine dernière, en arrivant pour le souper, les enfants de Nick lui ont mis un bâton de mini-hockey entre les mains et ils l’ont forcé à aller jouer avec lui avant le souper.

Bedard a raconté l’anecdote en mentionnant qu’il avait planté les jeunes. C’est ce qu’on comprend quand on l’entend dire qu’il a été invaincu lors de son passage dans le sous-sol (j’imagine que c’était au sous-sol, du moins) des Foligno.

Et clairement, il n’a pas semblé détester l’expérience.

Ce que j’aime bien, de la part de Bedard, c’est qu’il semble vraiment bien s’adapter à la pression médiatique qui entoure son arrivée dans la LNH depuis quelques semaines.

Et je ne dis pas ça simplement parce qu’il domine sur la glace…

Dans les faits, il semble de plus en plus confortable loin de la glace, ce qui est le grand défi d’un gars comme lui. Avoir Foligno dans son coin ne doit pas nuire, on va se le dire.

On peut notamment penser à la fois où il a parlé de ses aptitudes en cuisine pour se dire que clairement, il a les médias de son bord.

Ce n’est pas tout le monde qui peut dire qu’il cuisine de plus en plus avant de dire «qu’il disait ça juste parce qu’il se cherchait quelque chose à dire» sans créer de remous, on s’entend.

Tout ça pour dire que j’ai hâte de le voir jouer – et je ne suis certainement pas le seul.

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