Ces temps-ci, ça va assez bien pour Juraj Slafkovsky. Le joueur du Canadien semble vraiment prendre ses aises sur la patinoire.
En fait, depuis qu’il a été jumelé à Nick Suzuki et Cole Caufield, le mois passé, il paraît bien. Il n’a pas l’air de compléter un duo (NiCole), mais bien de former un vrai trio avec les boys.
Quand les gars sont en forme, ça paraît. Contre les Oilers et l’Avalanche, les gars ont joué de grosses minutes contre Connor McDavid et Nathan MacKinnon. On connaît le résultat.
Tout ça pour dire qu’en ce moment, Slaf joue en confiance. Ça ne paraît pas toujours sur la feuille de pointage, mais il prend des pas de géant. Il est différent du joueur du mois d’octobre, qui venait de perdre Kirby Dach.
Ça lui a fait mal, ça.
Mais la question se pose : qu’est-ce qui fait en sorte que le joueur a pris un pas de géant de la sorte? Quel est l’élément qui a mis Slaf en confiance pour être le joueur qu’il est présentement?
Anthony Martineau (TVA Sports) est allé aux nouvelles et il semblerait qu’une visite de ses parents soit au coeur de l’histoire.
«Ç'a aidé Juraj psychologiquement»
Voici l'élément déclencheur d'une belle ascension pour Slafkovsky.https://t.co/mYgx7FRf2Q
— TVA Sports (@TVASports) January 17, 2024
Rappel : Slafkovsky a 19 ans seulement.
Le père du joueur du CH, qui ne veut pas trop prendre de place, est fier de voir que son fils a une belle opportunité de la sorte sur le premier trio. À ses yeux, comme il l’a dit à Anthony Martineau, le fait que le Slovaque ait du beau temps de jeu l’aide à être en confiance. Difficile de dire le contraire, en tout cas.
Et si ça continue et qu’il arrivait à suivre une courbe de progression semblable à celle de Jack Hughes… ce serait quelque chose.
Juraj Slafkovsky versus Jack Hughes: constat étonnant https://t.co/xgZxvV867h
— TVA Sports (@TVASports) January 17, 2024
Prolongation
Notons qu’il est intéressant de constater que Slaf est capable de comprendre ce qui a fait son succès. Ainsi, s’il a de la misère, il saura comment se remonter.On ne peut cependant pas en dire de même de tout le monde.
Ces temps-ci, Joel Armia va bien. Le joueur du Canadien roule à plein régime bien et il serait intéressant que celui qui n’a jamais eu le surnom de M. Constance sache pourquoi.
Mais comme il l’a dit à Anthony Martineau, il ne sait pas pourquoi il est bon ou pas un match donné.
J’ai demandé plus tôt aujourd’hui à Joel Armia quels étaient les facteurs qui faisaient la différence entre un bon et un mauvais match pour lui.
Sa réponse?
«I dont know.»
Le mystère persiste.
— Anthony Martineau (@Antho_Martineau) January 16, 2024
S’il ne le sait vraiment pas, c’est inquiétant. Un joueur de la LNH devrait être en mesure de savoir ce qui fait ou ce qui ne fait pas son succès, surtout rendu à son âge.
Rappelons-nous cependant que le Finlandais n’aime pas les médias. Peut-être ne veut-il simplement pas en parler…