Coyotes : Salt Lake City et Sacramento devant Québec

Les Coyotes de l’Arizona sont à la croisée des chemins. Est-ce que le club arrivera à trouver une solution pour demeurer en Arizona? Difficile de le dire en ce moment, en tout cas.

Mais on sait que ça va mal.

En fait, en ce moment, pour voir les Coyotes demeurer en Arizona, il faudrait quasiment que les Suns (NBA) les prennent en charge et les amènent dans leur aréna au centre-ville.

Darren Dreger a tweeté sur la possibilité, ce matin.

Ceci dit, est-ce que les Suns, qui ont un aréna neuf, accepteraient de rénover ENCORE leurs installations pour accueillir une équipe de la LNH? Ça ne veut pas dire que ça leur tente.

On ne sait pas non plus si le proprio a envie d’acheter le club.

Si les Coyotes ne restent pas en Arizona à long terme, il faudra un plan. J’ai le sentiment que l’aréna universitaire sera de retour en 2023-2024, question d’examiner chaque plan possible.

Mais rester en Arizona à long terme devient plus que difficile.

La question du futur du club a été abordée par Elliotte Friedman dans son podcast ce matin. Et selon lui, quatre villes sont parmi les favorites pour accueillir les Coyotes en cas de déménagement.

Selon lui, Houston, Salt Lake City, Sacramento et Kansas City sont les possibilités les plus logiques.

Il ne faut pas s’étonner de Houston – même si le courant ne passe pas à 100 % avec le proprio potentiel – ou de Kansas City, même si ce n’est pas exactement une grosse ville.

Mais on peut se questionner sur Salt Lake City. On sait que Ryan Smith (proprio du Jazz de l’Utah) travaille sur le cas, mais est-ce vraiment un gros marché qui peut être assez intéressant du point de vue du hockey?

Et Sacramento? Est-ce que la LNH a besoin d’une quatrième équipe en Californie? Est-ce que le marché est assez gros pour supporter une équipe dans les pattes des Sharks de San Jose?

Les questions se posent, à tout le moins.

Le fait que la ville de Québec soit hors du portrait n’est pas surprenant. Après tout, comme on le sait, ce n’est actuellement pas la priorité de la LNH – bien au contraire.

Le fait que Québec soit dans l’Est et que les aujutres villes sont de l’autre côté du continent, selon Elliotte Friedman, est un frein à la base dans le (potentiel) projet du déménagement des Coyotes.

C’est moi où… les Blue Jackets peuvent, au pire, retourner dans l’Ouest? Gary ne ferait pas tant d’efforts pour le retour des Nordiques, mais chaque problème a sa solution.

Bref, ne retenez pas votre souffle.

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