Davidson et Kessel ont mené le même combat | Ott dans la mire du Tricolore? | En rafale

Pendant que le Canadien disputait un match très serré aux Blue Jackets, Marc Bergevin a donné la chance à David Desharnais d’évoluer sous d’autres cieux, lui qui n’avait plus sa place dans l’uniforme du Tricolore.

L’histoire du défenseur obtenu en retour, Brandon Davidson, un choix de 6e ronde en 2010, mérite que l’on s’y attarde. Tout comme Phil Kessel, Davidson a dû combattre un cancer des testicules qui a été diagnostiqué le 1er octobre 2012.

Deux jours après avoir reçu le diagnostic, il a été opéré et, trois semaines plus tard, il a été soumis à un mois de chimiothérapie intensive, avec deux injections par jour. Une épreuve qui fut plus difficile qu’il ne l’avait anticipé.

«After surgery, I was in pretty rough shape and I was in a lot of pain. Chemotherapy was very tough. I didn’t think it would affect me as much as it did, and I believe that was the toughest thing I’ve ever done. To this day, it still makes me sick thinking about it. I only did it for a month and I can’t imagine the people that do it for years. My heart goes out to them.»

Après avoir terminé ses traitements, bien qu’il croyait que sa carrière d’hockeyeur était compromise, il s’est retroussé les manches pour revenir en force. Avant la fin de la saison 2012-2013, il a joué 11 parties dans l’ECHL, avant d’être rappelé avec les Barons d’Oklahoma City, le club-école des Oilers dans la LAH.

À force de persévérer, Davidson a mérité un poste régulier avec les Oilers en 2015-2016.

Une belle histoire d’un battant qui a défié les probabilités et qui, espérons-le, se plaira à Montréal dans un rôle à sa mesure.

En rafale

– Marc Bergevin n’a probablement pas terminé ses emplettes sur le marché des transactions.

https://twitter.com/KevinWeekes/status/836764956133568513

Pas convaincu qu’il sera une solution pour que le Bleu-Blanc-Rouge compte davantage de buts. L’an dernier, il avait encensé Carey Price en le qualifiant de meilleur joueur au monde.

– Une chronique intéressante, où l’auteur suggère que les Flyers auraient dû monnayer Claude Giroux et Jakub Voracek en 2015, lorsque les Flyers ont manqué les séries, afin de remettre l’équipe sur les rails.

– C’est maintenant ou jamais pour les Capitals, qui sont clairement all in eux aussi, tout comme le Wild.

– Filip Forsberg ne ralentit pas la cadence.

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