Depuis son retour au jeu, Jonathan Drouin joue de l’excellent hockey

Depuis son retour au jeu, Jonathan Drouin joue de l’excellent hockey.

Depuis le changement d’entraîneur, Jonathan Drouin n’était pas le joueur que Martin St-Louis espérait. Il n’a pas encore marqué, mais surtout, il ne jouait pas toujours de façon à demeurer dans l’alignement.

Mais depuis son retour au jeu, c’est différent.

Dans les faits, même s’il ne noircit pas souvent la feuille de pointage (il a obtenu une passe contre les Ducks, mais sans plus), il joue du hockey qui est vraiment inspiré en ce moment.

Et surtout, il le fait au centre.

Ce qui est intéressant, c’est qu’il s’est fait confier les clés du quatrième trio à son retour au jeu contre Ottawa, mais depuis, il a réussi à vraiment prendre son envol et à faire sa marque sur un trio plus offensif.

En l’absence de Sean Monahan, Martin St-Louis avait besoin d’un bon deuxième centre et présentement, c’est le Québécois qui s’en charge. Cela enlève de la pression à Nick Suzuki, forcément.

Il a joué à l’aile un brin depuis son retour, mais c’est surtout au centre qu’on le voit. Il devient un peu le centre qu’on espérait qu’il soit en 2017.

Le fait d’avoir des responsabilités de plus l’aide en ce moment, mais surtout, ça aide le CH. Cela permet notamment de replacer Kirby Dach à l’aile du premier trio.

Forcément, ça doit être valorisant, après avoir été en trop souvent en début de saison, d’être au coeur du plan de match. Hier, du moins, il avait l’air d’un gars à sa place.

Hier, en prolongation, il a effectué une superbe montée. Il n’a pas marqué et le Colorado a marqué quelques secondes plus tard, mais il faut être en confiance pour monter la rondelle comme il l’a fait.

Et il faut aussi être un bon coéquipier pour inviter un adversaire à danser… comme ça a été le cas contre le fantôme lundi.

Espérons le voir continuer à jouer de la sorte dans les prochaines semaines. Après tout, c’est bon pour lui, c’est bon pour les fans, c’est bon pour l’équipe, c’est bon pour Martin St-Louis…

Et c’est bon pour Kent Hughes.

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