Nick Suzuki en est à sa cinquième saison dans la Ligue nationale.
Année après année, on remarque sa progression sur la patinoire. C’est aussi la même chose quand on regarde ses chiffres offensifs :
- 2019-2020 : 41 points en 71 matchs
- 2020-2021 : 41 points en 56 matchs
- 2021-2022 : 61 points en 82 matchs
- 2022-2023 : 66 points en 82 matchs
Il est quand même intéressant de voir qu’il ne cesse de s’améliorer au plan offensif. Et depuis quelques matchs, c’est vraiment lui, le catalyseur du club.
Le capitaine a récolté 12 points à ses 10 derniers matchs… Mais au-delà des points, il joue comme un vrai centre #1.
Il est vraiment sur une belle lancée.
Ce n’est pas la première fois où le capitaine connaît une bonne séquence après une période plus difficile.
Il doit travailler sur sa constance au niveau offensif parce qu’il est capable d’être un joueur productif de la Ligue nationale.
On le voit depuis le début du mois de décembre, après tout.
C’est drôle… Mais ça va vraiment bien pour Suzuki depuis que Martin St-Louis a brassé sa soupe en insérant Juraj Slafkovsky sur le premier trio de l’équipe.
Il y a une belle chimie entre les gars en dehors de la patinoire et ça se ressent vraiment sur la glace. On savait que Slaf avait le potentiel d’être un joueur dominant dans la LNH et on voit ses vraies couleurs dernièrement.
Si ça peut durer… Le Canadien vient de régler un beau problème. On cherche depuis longtemps le complément parfait à Suzuki et Cole Caufield et en ce moment, le Slovaque répond à l’appel et remplit tous les critères nécessaires.
Il s’agit d’une sacrée bonne nouvelle. Et tant mieux, pour vrai, si ça peut permettre à tout le monde de prendre un step.
Si on revient brièvement à Suzuki, il est intéressant de noter qu’il produit à un rythme de 74 points par saison en ce moment. Il compte 30 points en 33 parties depuis l’amorce de la saison et s’il garde le rythme, il va encore une fois battre son record personnel de points récoltés lors d’une seule campagne.
Quand je disais en début de texte qu’on remarque sa progression offensive, c’est exactement ce que je voulais dire.