Deux raisons de ressortir le mot «dopage» dans la LNH et la MLB

Parce que Giancarlo Stanton a 51 bombes au compteur actuellement, il faut aussitôt sortir le mot « dopage ». Le char d’assaut des Marlins de Miami demeure une force brute et lui-même cite que les records établis par Sammy Sosa, Mark McGwire et Barry Bonds ne sont pas « valables ». Dans le cas de Stanton, je crois qu’il est clean… mais je suis d’accord avec Martin Leclerc : il y a certes de gros problèmes de dopage au sein de la MLB et de la LNH.

Leclerc a pondu un texte très attrayant au sujet de la MLB et de la LNH. Au sein du circuit Bettman, avec l’acceptation d’accueillir Danis Zaripov, qui est suspendu jusqu’en 2019 au sein de la KHL, on constate que cette ligue est plus permissive. Plus permissive que la Fédération internationale de hockey sur glace.

En approuvant la possible arrivée de Zaripov, la Ligue nationale a démontré qu’elle levait le nez sur certains produits dopants. Si Zaripov avait été testé au sein de la LNH, aucune sanction ne serait tombée. Mais pourquoi? La réponse est très simple : la pseudoéphédrine ne figure pas parmi les substances interdites dans la LNH.

La LNH, une ligue clean… qu’on dit? Absolument pas. Sur sa liste, la cocaïne n’y figure même pas… et si cette drogue récréative y était, je présume que quelques joueurs décrocheraient de grosses suspensions. Tous les sports majeurs sont malades, pourquoi se mettre la tête dans le sable? Soyons francs, c’est ça la réalité de ce business.

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