Le dossier Erik Karlsson en est un qui revient sur les lèvres de tout le monde, en ce qui a trait à des discussions hockey. Depuis quelques semaines, le consensus semble être clair : si le #65 devait quitter la capitale canadienne, ce sera cet été. Pas avant.
Par contre, les panélistes de Hockey Night in Canada ont discuté du sujet à nouveau, hier soir, et si on lit entre les lignes, ce ne sera peut-être pas le cas. Peut-être que c’est pour bientôt…
How likely is Erik Karlsson to get traded prior to the deadline? The #HockeyNight panel discussed that and much more in Saturday Headlines. https://t.co/zw1NV1dgNZ pic.twitter.com/FvGsptslSD
— Sportsnet (@Sportsnet) February 18, 2018
Au courant de ce segment, Nick Kypreos propose à son auditoire de ne pas être surpris, si jamais le défenseur était échangé d’ici les neuf prochains jours, c’est-à-dire d’ici la date limite des transactions.
Avec toutes les rumeurs qui entourent présentement les Sénateurs, probablement l’équipe la plus active du circuit, au moment où l’on se parle, il est assez intéressant de constater à quel point même le capitaine n’est pas hors de danger.
N’oublions pas que le départ d’Erik Karlsson serait nécessairement synonyme de reconstruction… Mais aussi de défaite. En se débarrassant du Suédois, on assume presque qu’on n’est pas en mesure d’offrir un contrat respectable à un joueur de sa trempe.
Même s’ils venaient à repêcher haut et dénicher un joueur d’exception… En seront-ils au même point dans 5 ans? Aura-t-on peur de lui donner un gros montant d’argent?
Si tu ne peux pas offrir assez à Karlsson… C’est tout simplement stupide de ne pas faire une enquête sur le prix de retour possible.
Même s’il est échangé… On dirait bien que le défenseur suédois planifie faire d’Ottawa sa maison, l’été.
Erik Karlsson plans to remain in Ottawa … at least every summer https://t.co/xd1F3ERd5y pic.twitter.com/xHVusuXoac
— Ottawa Citizen (@OttawaCitizen) February 18, 2018
Il explique qu’il ne faut pas rien assumer de l’achat de sa nouvelle maison. Il l’a achetée puisque sa femme est de la région et il planifie, s’il ne peut pas y habiter au courant de la prochaine saison, d’y séjourner pendant l’été. Il n’a aucune intention de la vendre, peu importe ce qui arrive.