Plus le temps passe, plus les États-Unis sont ouverts à la possibilité de voir des matchs à huis clos.
On peut tout d’abord penser à la Floride, qui est prête à tout pour accueillir du sport à nouveau. C’est la même chose pour l’Arizona, qui est prête à voir du sport se jouer sur ses terres.
Puis, plus le temps passe, moins les restrictions sont grandes. L’Ontario a autorisé des entraînements, l’État de New York veut voir des matchs à huis clos et un État comme le Texas veut aussi autoriser le sport.
Le fait de voir l’État de New York y aller d’une telle déclaration est assez gros, on va se le dire. Cependant, le gouverneur a toujours affirmé vouloir voir du sport et la reprise de la vie normale ; il a donc sauté sur l’occasion.
Mais de voir le gouverneur de la Californie y aller du même genre de déclaration? Ça a de quoi faire ouvrir les yeux.
Il n’y a plus grand chose qui retient les ligues sportives de reprendre leurs activités sans spectateurs. Même la Californie, réfractaire depuis le début de la crise, ouvre la porte. Let’s go! https://t.co/Q7Ruc2sV3Q
— Anthony Marcotte (@anthonymarcotte) May 18, 2020
Comme le souligne Anthony Marcotte, depuis le début de la crise, la Californie joue de prudence. Souvenons-nous notamment que San Jose a été l’une des premières villes à annoncer que son club de hockey allait jouer à huis clos avant la suspension des activités…
Bref, selon le gouverneur Gavin Newsom, dès le début du mois de juin, des matchs à huis clos pourraient être présentés en Californie.
On peut supposer que la NBA (quatre équipes) et que la MLB (cinq clubs) seront plus affectés, à court terme, par cette décision du gouverneur. Mais ce qu’il faut retenir, c’est que l’espoir est de retour.