Tranquillement, le portrait de la nouvelle formation de Seattle prendra forme. L’identité (nom, couleurs et logo, notamment) de la formation sera dévoilée au cours des prochains mois. Puis, ce sont des joueurs qui finiront par se greffer à l’effectif de l’équipe de Ron Francis.
Pour ce qui est de l’entraîneur, en théorie, ça peut attendre. Après tout, le besoin pour un pilote n’est pas le plus grand quand il n’y a pas d’entraînement à diriger ou de match à disputer.
Malgré tout, il ne serait pas impossible de voir la 32e formation de la LNH se doter d’un coach dès cet été, soit un an avant le premier match de l’équipe. La question à se poser, c’est de savoir pourquoi ils décideraient de payer un entraîneur pendant un an de plus quand ils pourraient simplement attendre en janvier 2021 afin de sauver quelques mois de salaire.
INSIDER TRADING: #TSNHockey Insiders discuss…
🏒 Seattle eyeing HC early?
🏒 Lowdown on #MNWild, #Isles & Parise
🏒 GMs to discuss EBUG issues
🏒 #Yotes & player testing investigation
🏒 #CBJ & Josh Anderson this offseasonWATCH 🌍: https://t.co/F5s9a2r7oe#TSNHockey pic.twitter.com/LlWZUHAcBI
— TSN Hockey (@TSNHockey) February 27, 2020
La réponse? Le groupe à la tête du projet veut bien faire les choses et cela passe par un bon entraîneur. Présentement, sur le marché, il y a de bons entraîneurs qui sont disponibles (Gerard Gallant, Peter Laviolette, Bruce Boudreau et Mike Babcock, pour ne nommer que ceux-là) et la formation de Seattle aimerait probablement en engager un.
Mais ce n’est pas tout. D’autres formations seront dans la course à ces entraîneurs-là. On pense notamment au Wild du Minnesota, qui ont présentement un entraîneur par intérim, mais il pourrait y avoir d’autres équipes. Certains clubs voudront congédier leur entraîneur et ils pourront probablement le faire en marge du « marché des agents libres » important chez les entraîneurs.
À suivre au cours des prochains mois, donc.