Tony DeAngelo est l’une des figures les plus controversées dans le monde de la LNH actuellement. Je ne prendrai même pas la peine de vous nommer tous ses agissements qui ont fait polémique depuis quelques années, mais si jamais vous l’aviez oublié, laissez-moi vous rappeler qu’il a été soumis au ballotage il y a un peu moins de deux semaines.
Plus tôt aujourd’hui, DeAngelo a finalement accepté de parler aux médias suite à sa relégation. Il a accordé un long entretien à Larry Brooks, du New York Post, et ce qui ressort, c’est qu’il ne se défile pas et qu’il prend le blâme pour ce qu’il a fait par le passé, mais malgré tout, il se défend d’être une personne raciste et extrémiste.
Column. Exclusive. Tony DeAngelo bares his soul in first comments since Rangers exile, rebuts charges relating to K'Andre Miller, admits mistakes, pledges to be better, declares that he is not "a racist, extremist or insurrectionist." https://t.co/DJURMED2Cq via @nypostsports
— Larry Brooks (@NYP_Brooksie) February 13, 2021
Évidemment, s’il était le seul à affirmer ceci, il est évident que ça n’aiderait pas vraiment à redorer son blason. Toutefois, il faut savoir que parmi les gens qui ont défendu DeAngelo, on retrouve plusieurs parents de jeunes hockeyeurs qui ont reçu du support de la part du défenseur, tout comme Marc Staal, qui est un joueur respecté à travers le circuit Bettman.
Malgré tout, DeAngelo avoue qu’il a commis plusieurs erreurs tout au long de son cheminement. Il affirme qu’il n’est pas de ceux qui ne croient pas en la COVID-19, ayant été témoin de certains de ses proches qui ont été atteints du virus, et il souhaite laisser son passé derrière lui pour mériter une nouvelle chance dans la LNH.
D’ailleurs, sachez que selon le défenseur ainsi que selon l’agent de K’Andre Miller, toute la situation entourant la rondelle du premier but de ce dernier n’est pas fondée.
Bref, que pensez-vous du mea culpa de DeAngelo?