Rumeur : une rencontre entre Artemi Panarin et l’Avalanche du Colorado

Artemi Panarin demeure l’un des plus gros noms du marché actuel, donc il devrait décrocher un contrat assez lucratif merci. Durant la journée d’aujourd’hui, donc lundi, le Russe rencontrera Dale Tallon et son organisation des Panthers de la Floride. Il sera d’ailleurs accompagné par son compatriote, Sergei Bobrovsky. Cependant, l’électrisant Panarin ne se contentera pas uniquement de la Floride, puisqu’une rencontre aurait eu lieu avec Joe Sakic. L’Avalanche croit en elle-même, surtout avec l’épopée de l’année dernière, donc le plan est simple : dénicher de grosses pièces à greffer au groupe actuel.

Il semblerait que cette rencontre a eu lieu hier (dimanche)… donc un pas est également fait vers le Colorado.

Avec tout le lousse sous le plafond salarial, Sakic a inévitablement les moyens de lui déposer un pactole d’au moins 10 millions de dollars par campagne. C’est énorme, mais avec Kevin Hayes qui a paraphé un pacte lui rapportant en moyenne sept millions $ par saison, c’est facile de spéculer que Panarin et Matt Duchene frôleront les dix millions $ en moyenne par saison.

L’Avalanche a actuellement six attaquants avec un contrat en poche… Cinq autres sont dans la catégorie RFA (agents libres avec restriction) et trois autres sont agents libres sans compensation, dont Derick Brassard. Parmi les RFA, on retrouve un certain Mikko Rantanen, qui devrait piger dans les 35 millions $ libres des Av’s. À 22 ans, l’ailier droit de Nathan MacKinnon a réalisé une saison majestueuse, où il a récolté un total de 87 points, dont 31 buts en 74 joutes.

Malgré une perte de vitesse en deuxième moitié de saison, le Finlandais décrochera certes une grosse augmentation salariale, lui qui vient d’achever un accord qui lui rapportait 894 167$ en moyenne par saison. Bref, une hausse de salaire considérable est donc logique dans son cas. Tout compte fait, imaginez un trio constitué de Rantanen, MacKinnon et Panarin, ce serait trop dévastateur. Juste d’y penser, je vous sens saliver, partisans de l’Avalanche.

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