Depuis l’élimination des Rangers, certaines rumeurs se promènent concernant la possibilité de voir Gerard Gallant être congédié.
Après tout, sa formation n’a pas été capable de franchir le premier tour même avec tous les gros ajouts à l’équipe dans les derniers mois et certains le pointent du doigt pour les insuccès des Rangers.
Mais dans les faits, Gallant n’a pas grand-chose à se reprocher. Ce n’est pas lui qui n’a pas livré la marchandise sur la glace, ce sont plutôt certains joueurs étoiles de la formation new-yorkaise.
Je fais ici référence à Artemi Panarin, qui n’a pas trouvé le fond du filet en sept matchs contre le New Jersey. Mika Zibanejad doit aussi se regarder dans le miroir. Bref.
L’actuel entraîneur-chef des Rangers est au courant des murmures à son endroit et il a perdu patience devant les journalistes ce matin, alors que c’était l’heure du bilan de l’équipe.
Gallant s’est dit déçu de voir les rumeurs créées par les médias et a dit tout haut qu’il « n’en revenait pas » de devoir répondre à des questions en lien avec cesdites rumeurs :
"I can't believe I have to answer some of these questions about me getting fired, brought up by the media. Disappointing."
– Gerard Gallant pic.twitter.com/MLNMqgTAqz
— Rangers Videos (@SNYRangers) May 3, 2023
Au fond, le principal intéressé soutient qu’il n’a aucune véritable raison de croire les rumeurs en question en raison de son rendement avec l’équipe depuis qu’il est débarqué dans la Grosse Pomme il y a deux ans.
Rappelons qu’en 2021-2022, les Rangers se sont rendus jusqu’au carré d’as avant de s’incliner face au Lightning de Tampa Bay en six matchs. Ils avaient offert toute une opposition au plus récent champion de la Coupe Stanley à ce moment-là, ce qui n’est pas rien.
Tout ça pour dire que Gallant se voit encore derrière le banc des Rangers dans le futur. Il soutient n’avoir eu aucune discussion avec Chris Drury (DG) et la direction des Rangers à propos d’un possible congédiement…
Et c’est pourquoi il a un peu « pogné les nerfs » devant les journalistes aujourd’hui.