Hausse du plafond : le contrat de Carey Price devient échangeable

Même si le contrat de Carey Price n’affecte pas la masse salariale du Canadien durant la saison, c’est tout de même un boulet.

Et j’imagine que pour le bon prix, Kent Hughes n’aurait pas de difficulté à l’échanger. Mais encore là, il faudrait qu’une équipe accepte d’acquérir un tel contrat. Ce n’est pas dans les habitudes du DG montréalais de donner un choix pour qu’une équipe prenne un mauvais contrat.

Mais avec la hausse du plafond salarial (potentiellement à 95,5 millions de dollars en 2025-2026), les choses pourraient changer et le contrat du gardien pourrait devenir échangeable, selon Pierre LeBrun. Simon Snake Boisvert en a également discuté dans le plus récent épisode de Processus.

Les choses pourraient changer, car le plafond va augmenter, mais le plancher aussi.

Et des équipes plus pauvres vont devoir respecter ce plancher. Dommage que les Coyotes de l’Arizona n’existent plus…

Ce plancher va être plus haut et si une formation tarde à atteindre le plancher, le contrat du 31 est très intéressant. Pourquoi? Car il a une empreinte salariale de 10,5 millions de dollars, mais le propriétaire ne devra débourser que deux millions de dollars. C’est vraiment le proprio qui devra payer et non les assurances, confirme LeBrun.

C’est alléchant pour une formation moins riche, en tout cas.

Le pacte de Price expire après la prochaine saison, donc s’il est échangé (encore faut-il que le gardien accepte en raison de sa clause de non-mouvement), ce sera dans la prochaine année, jusqu’en mars 2026.

Mais le 31 a tout intérêt de lever sa clause de non-mouvement, car peu importe où il serait échangé, il payerait moins d’impôts qu’au Québec. Il n’y aura pas de problème, donc.

En rafale

– Oui.

– Ça va mal à Toronto.

– Les DGs dans la NBA croient qu’ils sont dans un jeu vidéo récemment.

– Un gars que je ciblerais si j’étais le Canadien.

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