Alors que le camp de développement du Canadien est en cours du côté de Brossard, Stu Cowan, du Montreal Gazette, a pondu un texte dans lequel il s’est intéressé à la famille du dernier choix de première ronde du Tricolore, Ryan Poehling.
My column on hockey being a family affair for #Habs first-round draft pick @ryanpoehling #HabsIO: https://t.co/YKJEa9sWGF pic.twitter.com/O4n0LZM0aa
— Stu Cowan (@StuCowan1) July 2, 2017
Chez les Poehling, le hockey a une place omniprésente. Les quatre enfants pratiquent ce sport et tirent très bien leur épingle du jeu. D’ailleurs, dans la cour arrière de la famille, il y avait une patinoire sur laquelle les garçons ont passé beaucoup de temps.
L’an dernier, Ryan a joué avec ses frères jumeaux, Jack et Nick, avec qui il a complété un trio à St.Cloud State. D’ailleurs, pour avoir la chance de jouer avec eux, il a mis les bouchées doubles afin de graduer plus rapidement.
D’ailleurs, certains s’entendent pour dire que le lien qui lie les trois frères, et le fait que Ryan a voulu suivre leur rythme, a contribué à accélérer le développement de celui-ci.
Sur le plan personnel, le patriarche, Tim, décrit son fils Ryan de cette façon (avec ses yeux de père).
«Il est très cérébral… il est intelligent. Il est bon à l’école et il a une intelligence naturelle. Quand il décide qu’il veut quelque chose, il se dédie à son objectif et il l’atteint. Sinon, il va en tirer les leçons. Il est multi-dimensionnel, dans le sens qu’il a plusieurs groupes d’amis qui font différentes choses. Il a ses amis du hockey, ses amis du chalet l’été, certains qui ne font pas de sports. Je le décris comme un enfant équilibré. Il est bien au fait de sa situation et de son entourage et de tout ce qu’il fait. Nous avons été chanceux avec nos enfants… ce sont des bons enfants. Ils ne se sont jamais mis dans le trouble.» – Tim Poehling
En somme, Le CH semble avoir mis la main sur un joueur qui a des belles habiletés et qui, de par ses influences familiales, est une très bonne personne. Voilà qui devrait l’aider dans son développement et aussi, à faire face à l’exigeant marché montréalais.