Alors qu’un plan de relance approuvé dans la LNH semble de plus en plus près d’un accord, les dirigeants de la Ligue nationale de hockey analysent actuellement huit à neuf lieux qui pourraient accueillir jusqu’à dix équipes au même endroit.
« Huit ou neuf lieux » dans la mire de la LNH pour la reprise https://t.co/uzpZvAuEGi
— Radio-Canada Sports (@RC_Sports) May 18, 2020
Le commissaire de la LNH participait à une discussion virtuelle pour discuter des efforts de la ligue depuis l’arrêt des activités à cause de la COVID-19 dans le cadre de la « Leaders Week ».
« Nous avons travaillé très fort depuis que nous avons interrompu nos activités le 12 mars pour nous assurer que, peu importe les échéanciers, peu importe les endroits où nous pourrions devoir relancer les activités, nous soyons en mesure d’appliquer une de ces options. Mais il y a encore beaucoup d’incertitude », a mentionné Bettman.
Pour l’instant, cela semble rester flou malgré l’avancé de la LNH dans les derniers jours sur un futur « plan », et je préfère mettre plan entre parenthèse, car rien n’est confirmé. C’est plutôt compliqué, car on le sait que la frontière entre les deux pays est toujours fermée et que plusieurs joueurs ne pourraient même pas voyager dans le pays voisin. D’ailleurs, selon ce que mentionne Radio-Canada Sports dans son article, « moins de 17% des joueurs de la LNH sont à l’extérieur de l’Amérique du Nord ». Imaginez-vous le problème qui s’en vient, à savoir que près d’un joueur sur cinq devra revenir en Amérique du Nord.
Par contre, c’est plutôt étrange comment la LNH met beaucoup d’énergie pour des endroits où la LNH pourrait reprendre. Dans un sens, c’est complètement inutile, car pour les fans, les matchs seront diffusés à la télévison. Que les matchs soient à Dallas, à Nashville ou à Washington, il n’y a pas grande différence.
Why does it matter where NHL games are going to be played? We’re not going to be there. We’ll be watching on TV.
— Steve Simmons (@simmonssteve) May 18, 2020