Depuis que Jack Eichel a affirmé être tanné de perdre, les rumeurs l’envoient aux quatre coins de la planète hockey. La plus récente rumeur? Boston.
Ceci dit, comme l’a expliqué mon collègue Maxime Truman ce matin, Eichel n’a pas de leverage dans ses négociations, lui qui est sous contrat à long terme avec les Sabres et qui, forcément, ne peut pas faire grand chose si le DG des Sabres ne veut pas l’échanger.
Évidemment, ça pourrait changer rapidement… et le mot « ça » ne représente pas que la situation : ça représente aussi la direction des Sabres.
HOCKEY 🏒 Beaucoup de mouvement de personnel cet été? ➡️ https://t.co/FxCKttU7eP pic.twitter.com/ICuDIc3i5d
— 91.9 Sports (@919sports) June 22, 2020
Tout ça pour dire que si Eichel devait prendre le chemin de Boston, il faudrait prendre des mesures, du côté des Bruins, pour accueillir son salaire de 10 millions de dollars par année. Oui, des contrats partiraient, mais est-ce que ce serait suffisant en sachant qu’en raison de la pandémie, le plafond ne montera pas?
Pas forcément, non.
Il apporte quand même un gros bémol → https://t.co/pSE40sxbSv
— DansLesCoulisses (@DLCoulisses) June 6, 2020
Parce que le salaire de Krug devrait augmenter à environ huit millions de dollars cet été sur le marché de l’autonomie (il gagne présentement 5.25 millions de dollars), il serait possible que les Bruins ne veuillent pas forcément lui consentir une augmentation de salaire de la sorte. Et ce, même si Eichel ne rentre pas à la maison.
Oui, la perte de Krug affaiblirait le côté gauche de la défensive des Bruins (surtout avec le capitaine Chara qui n’est pas éternel), mais la question est de savoir si ça vaut le coup de le signer… ou de se faire huit millions de dollars d’espace sur la masse.
C’est ce qui fait en sorte que certains (dont Joe Haggerty) croient que l’époque Krug est révolue à Boston.
À trois, on l’envoie à Montréal? Un, deux…