C’est le solstice d’été!
Et c’est jour de repêchage amateur dans la LNH!
Toutes les équipes, tous les DG et tous les directeurs de recrutement sont à Vancouver présentement.
Tous s’entendent pour dire que ça jase plus que jamais entre les équipes… Tous, sauf Marc Bergevin.
Rappelons que les joueurs autonomes sans restriction pourront commencer à jaser avec d’autres équipes dès dimanche matin et que dans le cas des RFA, ça ira au 26.
Corey Perry, dont le contrat a été racheté par les Ducks il y a quelques heures à peine, peut déjà discuter avec les 30 autres équipes de la LNH. Et il aurait déjà commencé à le faire…
(Crédit: YouTube)
Selon Pierre LeBrun, plusieurs équipes auraient déjà contacté l’agent de Corey Perry pour signifier leur intérêt. Du nombre, les Predators et les Blackhawks auraient appris que Perry avait aussi de l’intérêt envers leur équipe…
Les Predators étaient l’une des équipes sur sa courte liste d’équipes auxquelles Perry aurait accepté d’être échangé.
L’idée de rejoindre les Penguins (et son bon ami Sidney Crosby) intéresserait aussi Perry. Et l’intérêt serait aussi présent chez les Pens…
Rien sur le Canadien, qui a pourtant un DG qui aime ça l’attitude et le leadership. Reste qu’au final, Perry n’a pas la vitesse nécessaire pour jouer dans le système montréalais, à mon avis.
Selon LeBrun, Perry devrait signer un contrat d’un an à un salaire pas trop élevé, assujetti de bonis. Je croyais qu’un vétéran devait avoir 35 ans pour signer un contrat impliquant des bonis à la performance, mais bon…
À noter que s’il n’avait pas vu son contrat être racheté par les Ducks, Perry aurait gagné 8 millions $ en 2019-20 et 7 autres en 2020-21. Il touchera plutôt environ 2 millions $ par saison durant quatre ans… plus le salaire de son prochain contrat.
Perry a 34 ans et il vient de connaître une saison de 10 points seulement (différentiel de moins-16). Il a subi quelques blessures, mais une équipe sera certes intéressée à prendre un petit risque avec ce leader incontesté…