Islanders : Patrick Roy interdit le temps supplémentaire après les entraînements

À travers la LNH, bon nombre d’équipes profitent actuellement d’une longue semaine de congé dans le cadre de la pause du Match des étoiles. Seulement six matchs (au total) seront disputés dans la ligue au courant des trois prochains jours, si bien qu’il y a une tonne d’équipes qui sont déjà en break.

Il y a évidemment le CH (qui ne rejouera pas avant mardi prochain) qui en fait partie, tout comme les Capitals, alors qu’Alex Ovechkin n’a pas attendu pour aller profiter de la plage.

Mais du lot, il y a également les Islanders de New York, qui font pas mal jaser depuis quelques semaines en raison de leur nouvel entraîneur-chef, un certain Patrick Roy.

Depuis son arrivée, le club a une fiche de 1-2-1, ce qui n’est pas nécessairement incroyable. Cela dit, on sent un changement d’ambiance chez les Islanders, alors que Roy a amené une nouvelle énergie au sein du groupe.

Les victoires n’y sont pas encore, mais il y a un esprit de corps qui se forme, et les performances sont intéressantes.

Et clairement, Roy est là pour changer la culture un brin, ce qu’il a déjà commencé à faire. En fait, parmi les changements depuis son arrivée, l’entraîneur interdit notamment à ses joueurs de faire du temps supplémentaire après l’entraînement.

Tout le monde quitte en même temps, en gros.

Nos collègues chez HabsolumentFan en glissaient eux aussi un mot, d’ailleurs.

L’objectif de cette mesure est assez simple : Roy veut créer un esprit d’unité au sein de l’équipe, et c’est une façon de réunir le groupe. Personne n’est «au dessus» du reste de l’équipe au point de passer plus de temps sur la glace, en gros.

Ce n’est d’ailleurs pas la seule mesure du genre qu’on a vu être instaurée chez les Islanders : désormais, à la fin de l’entraînement, tous les gars se regroupent au centre de la glace, où ils forment un «caucus».

Tout ça a pour but de solidifier le groupe, et même si Roy n’accumule pas encore les victoires, c’est une bonne façon de préparer ses gars au reste de la saison, où le club devra se mettre à gagner à la tonne s’il souhaite participer aux séries éliminatoires.

On verra si ces différentes mesures aideront à changer la culture, en fin de compte.

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