Ivan Demidov a nargué Juraj Slafkovsky dans son entrevue du repêchage

Dans le monde du sport, les athlètes, souvent plus jeunes, n’ont pas peur de narguer d’autres joueurs.

Des fois, de mauvaises intentions se cachent derrière le geste, mais d’autres fois, c’est simplement pour rigoler.

Se moquer de quelqu’un peut être mal vu et mal interprété et c’est important de connaître les réelles intentions.

Dans le cas d’Ivan Demidov, on sait qu’il est très rigoleur.

Il l’a prouvé juste avant le repêchage lorsqu’il était en entrevue avec la direction des Canadiens de Montréal.

Jeff Gorton a mentionné que le Russe connaissait déjà certains joueurs, lui qui a ses devoirs sur l’organisation. Le nom de Juraj Slafkovsky a été évoqué par Gorton.

Demidov a répondu qu’il a déjà joué contre lui au tournoi Hlinka-Gretzky et il n’a pas hésité à le narguer par rapport à la défaite des Slovaques face aux Russes.

Ce jeune semble être un « fit » parfait pour le CH.

L’organisation montréalaise a publié un vidéo sur les coulisses de son dernier repêchage en ce jeudi soir, et de beaux bijoux s’y trouvent.

D’abord, on a compris que Michael Hage était le joueur visé au 21ᵉ rang, et qu’il y avait un consensus général au sein de la direction quant à sa sélection.

Aussi, on a appris que Demidov aurait trouvé le CH fou s’il ne l’avait pas sélectionné au 5ᵉ rang.

Ce dernier a aussi prouvé qu’il est très confiant, mais surtout qu’il n’a pas peur de blaguer.

Même si la LNH est une ligue très sérieuse, comme toute autres grandes ligues sportives professionnelles, à Montréal, c’est bien de pouvoir rigoler.

Ça permet de relâcher l’énorme pression que les joueurs subissent, même si certains adorent celle-ci.

À Montréal, ça peut être très difficile, mais on dirait que Demidov a un profil similaire à Slafkovsky en tant que personne.

Ce que je veux dire par là, c’est que les deux jeunes joueurs talentueux semblent être « innocents », mais de la bonne façon.

Ils ne sont pas le genre de personne qui se feront du soucis pour rien et à stresser parce que les partisans sont trop intenses.

C’est important de se soucier du hockey, de « care », mais à Montréal, c’est tout autant important d’être capable de ne pas trop s’en faire.

En rafale

– Mais de quelle équipe parlait-il?

– Anthony Duclair goûte à la médecine de Lou Lamoriello.

– Eh bien.

– ChatGPT n’aurait pas dit mieux.

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