J.T. Miller déteste certains médias à Vancouver

La pression médiatique est très présente dans la LNH, tout comme dans n’importe quel sport professionnel.

Pour le hockey, les médias canadiens mettent beaucoup de pression sur les joueurs, car c’est le sport national et ça nous tient tous à coeur.

Cependant, certains journalistes peuvent en mettre un peu trop à l’occasion et certains joueurs n’apprécient pas beaucoup ça.

J.T. Miller des Canucks de Vancouver fait partie du groupe qui n’est pas très fanatique de certains médias.

(Crédit: Puck Report NHL)

« J’essaie de mon mieux de rester en dehors de ça. C’est impossible de rester complètement en dehors de tout ça, ça devient simplement un peu toxique. » – J.T. Miller

Miller s’en est donné à coeur joie, tout en demeurant poli, malgré quelques mauvais mots.

Le point à retenir, c’est que ce n’est pas l’entièreté des médias de Vancouver qui est le problème, mais bien quelques-uns.

« Ce n’est pas tous les médias, je ne supporte simplement pas quelques-uns d’entres eux et ils le savent ce que je pense, donc il n’y a rien à cacher. » – J.T. Miller

L’Américain a aussi pris la peine d’adresser les rumeurs de transaction l’entourant.

Ça avait le mérite d’être clair.

« Les rumeurs d’échange n’étaient que des rumeurs. Et pour être honnête, j’ai beaucoup trop de fierté pour embrasser leur c*l (médias) de toute façon et je leur dirais en personne. Je préfère remuer la marmite avec eux, plutôt que de leur faire dire quelque chose de bien sur moi. » – J.T. Miller

J.T. Miller avait signé une prolongation de contrat de 7 ans, d’une valeur de 56 millions de dollars, après avoir connu une excellente saison de 99 points en 2021.

L’an dernier, Miller a encore produit a plus d’un point par match, avec 82 points en 81 rencontres, malgré une saison difficile pour les Canucks.

Son contrat a cependant été une des raisons pourquoi Bo Horvat n’est pas resté à Vancouver, lui qui a été échangé aux Islanders de New York en janvier dernier.

Vancouver devrait encore une fois manquer les séries éliminatoires, à moins d’une surprise.

Dans la division Pacifique, il y a les champions en titres, les Golden Knights de Vegas, mais il y a aussi le Kraken de Seattle, les Kings de Los Angeles, les Oilers d’Edmonton et les Flames de Calgary. Toutes ces équipes sont, sur papier, supérieures aux Canucks.

Reste à savoir si Miller saura supporter la pression médiatique une fois de plus, sans que ce soit « too much » pour lui et qu’il demande une transaction. Ça semble devenir de plus en plus populaire chez les joueurs américains qui jouent au Canada lorsque quelque chose ne fait pas leur affaire.

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