Jacob Fowler impressionne par ses prouesses et son français

Jacob Fowler est en train de se faire une tonne de partisans montréalais en raison de ses statistiques ahurissantes à Boston College. Non seulement ça. À l’image de l’élève modèle qu’il est, il suit des cours de français.

L’objectif derrière cette «formation» est de souhaiter bien communiquer avec ses futurs partisans francophones. Puis selon son coéquipier de l’équipe américaine, Gabriel Perrault, le fis de Yanic, il se débrouille très bien.

Voici d’ailleurs le discours de Perreault, à ce sujet, qui s’est confié au journaliste Jon Morisi sur Twitter/X :

«Il se débrouille bien et cela l’aidera pas mal à Montréal. Au début, il éprouvait quelques ennuis, mais il a trouvé le moyen de s’améliorer et c’est agréable de discuter avec lui!» – Perreault

S’il avait à accorder une note à Fowler pour son apprentissage de la langue de Molière, Perreault lui déposerait un B ou un B+, ce qui demeure une note très au deçà de la moyenne générale, n’est-ce pas?

Il se débrouille très bien et il est en mesure de livrer des phrases complètes, rendant son répertoire beaucoup plus vaste qu’il y a quelques mois à peine. Au préalable, il connaissait quelques mots et quelques jurons, sans plus.

Si nous revenons au niveau hockey, rappelons que Fowler est vu comme le futur gardien numéro un des Canadiens de Montréal, selon quelques spécialistes, grâce à son étoffe actuelle. Sa carte de visite affiche 13-3-1, une moyenne de buts alloués de 2,16 et un taux d’efficacité de 0.925%.

Fowler et son compatriote Trey Augustine défendront le filet des États-Unis afin de tenter de rafler une médaille d’or. Leur tournoi s’amorcera mardi prochain du côté de la Suède.

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