Le leadership d’une entreprise, ça part d’en haut. Et ça, les Rangers doivent être en train de s’en rendre compte.
Que ce soit la faute du proprio ou de Chris Drury, le président des opérations hockey, il est clair que l’ambiance dans le vestiaire des Rangers de New York est tout simplement toxique.
On l’a compris depuis plusieurs semaines, disons.
On dirait qu’à chaque semaine, il y a un nouvel exemple qui nous démontre à quel point cette organisation-là est dysfonctionnelle. Et là, on a un nouvel exemple qui nous tombe entre les mains.
Et il nous vient de Zac Jones.
En marge d’un texte qui a été pondu par Larry Brooks, on comprend que le défenseur n’adopte pas exactement la méthode Michael Pezzetta (qui aurait le droit de chialer, soit dit en passant) pour gérer le fait qu’il est laissé de côté par son entraîneur.
Alors qu’il s’enligne pour rater un cinquième match en six joutes, Jones a chialé publiquement.
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Mais il va plus loin.
C’est frustrant quand tu penses que tu fais les choses de la bonne manière, mais que tu es quand même laissé de côté pour les matchs.
Je me sens pourrir. – Zac Jones
Je ne crois pas avoir besoin de vous dire que le mot «pourrir» est quand même fort, dans les circonstances. Et ce qui est aussi fort, c’est de le voir dire qu’il n’est pas un vétéran de 32 ans qui collecte son chèque de paie, mais bien un jeune qui doit jouer.
En regardant le classement, on voit que les Rangers sont en déroute complète.
Prolongation
Rappelons qu’il y a quelques semaines, Kaapo Kakko avait aussi chialé publiquement concernant son utilisation. Il disait ne pas être le pire joueur du club et ne pas comprendre pourquoi il ne jouait pas.Rappelons aussi qu’il est rendu à Seattle, lui.
#NYR Kaapo Kakko: “Haven’t been on the ice too much when [opponents] score a goal… I have not been the worst guy, but that was me out of the lineup.”
— Mollie Walker (@MollieeWalkerr) December 17, 2024