Jakob Pelletier : Craig Button ne serait pas surpris de voir le Canadien aller le chercher

S’il y a bien un joueur qui est désiré par les amateurs du Canadien, c’est Jakob Pelletier. L’espoir des Flames, qui est point per game à Stockton (club-école des Flames), est bien connu ici.

On sait que la direction du Canadien l’aime et que le joueur pensait qu’il avait des chances de débarquer à Montréal quand Tyler Toffoli est parti à Calgary. Les indices le liant au Canadien existent bel et bien.

La question a donc été posée à Craig Button, qui connait bien les espoirs, par Tony Marinaro : est-ce que le CH a de bonnes chances de mettre la main sur ses services à la date limite en retour de Ben Chiarot?

Et sur les ondes du Sick Podcast, Button a répondu qu’il ne serait pas surpris.

Aux yeux de Button, les Flames sont un club qui peut aspirer à la Coupe Stanley. Aller chercher Chiarot n’est donc pas impossible… mais pour recevoir, il faut aussi donner.

Rappelons que les Flames voulaient Chiarot en même temps que Toffoli, mais qu’au niveau des salaires, ça fonctionnait moins. À noter : plus la fin de saison approche, plus c’est facile d’insérer du salaire.

Ceci dit, les Maple Leafs pourraient aussi vouloir payer le CH pour aller le chercher. Ils ont besoin de renfort et Ben Chiarot est le genre de joueur qui ferait des Leafs une équipe redoutable et plus robuste.

Marinaro a donc demandé à Button ce qu’il pensait de Pelletier. À ses yeux, il a le potentiel de jouer sur un deuxième trio dans la LNH.

De plus, il a comparé l’espoir des Flames à Jake Guentzel. On ne parle pas forcément de son tir, mais surtout de son insaisissabilité et de son sens du hockey. Il semble vraiment croire en l’espoir des Flames.

Reste juste à voir si Calgary, qui a toujours dit non au Canadien, acceptera finalement d’échanger le jeune ailier gauche en retour de Chiarot. Pour recevoir, il faut donner, n’est-ce pas?

Prolongation

Button suit Cole Caufield depuis qu’il a 15 ans et il voit le jeune homme marquer 20 buts dans la LNH dès cette année. Rappelons qu’il en avait un quand Martin St-Louis est arrivé.

Y croyez-vous?

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