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Jarmo Kekalainen démis de ses fonctions de DG des Blue Jackets

Ça brasse à Columbus.

Les Blue Jackets ont annoncé que le DG Jarmo Kekalainen a été démis de ses fonctions. C’est John Davidson et les autres dirigeants de l’équipe qui vont assurer l’intérim.

C’est ce qui vient d’être annoncé… à quelques semaines de la date limite des transactions.

Kekalainen, qui est un excellent joueur de pickle ball, était de plus en plus contesté. On parlait de lui comme un DG qui n’arrivait pas à créer une culture pour garder les joueurs en place.

Avez-vous remarqué que ça ne se bouscule pas aux portes pour rester à Columbus ou pour signer là-bas… surtout chez les vedettes?

Kekalainen, qui a gardé longtemps l’entraîneur John Tortorella en ville et qui a embauché Mike Babcock l’été dernier, avait le don de prendre des décisions qui n’étaient pas toujours les plus populaires.

Le problème? Depuis des années, le club n’a pas la fiche (saison et séries) pour lui donner raison.

Cette année encore, on savait que ça allait être difficile en changeant d’entraîneur à la dernière seconde, mais Columbus est au dernier rang de sa division. Le club a une saison horrible avec 42 points en 52 matchs.

Donc même avec un an de contrat après 2023-2024, Kekalainen a été congédié à quelques semaines de la date limite. Il était en poste depuis 2013.

On imagine que Patrick Roy, qui aurait eu de belles discussions avec Columbus l’été dernier pour le poste d’entraîneur, doit être heureux d’être à New York en ce moment à la place. Et ce, même si tout n’est pas parfait dans la Grosse Pomme.

Notons que Trevor Timmins, qui travaille là-bas et qui a un bon lien avec Kekalainen, a gardé son poste, lui.

Prolongation

Quand il y a un changement de la sorte, tous les joueurs stressent. Après tout, un jour, un nouveau DG sera embauché (on ne sait pas trop quand) par Columbus…

Et qui sait quel sera son plan.

Pascal Vincent, entraîneur du club, doit être assez stressé. Après tout, son club performe mal et peut-être que le prochain DG décidera que c’est de sa faute. Peut-être aussi décidera-t-il qu’il veut son homme.

Ce ne sera pas simple à gérer pour le Québécois, tout ça.

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