Quand Carey Price et Jeff Petry jouaient à Montréal, les deux gars sont devenus de bons amis. Les deux familles se sont rapprochées et Julie Petry ainsi qu’Angela Price sont devenues de bonnes amies.
Elles ont même lancé une compagnie de chandails de la LNH pour femmes ensemble.
Évidemment, depuis un an, elles se voient moins. Après tout, les Petry ont passé l’année en Pennsylvanie et les Price étaient encore du côté de Montréal, et ce, même si Carey ne jouait plus.
Mais avec la transaction d’hier, qui a envoyé Jeff Petry chez les Red Wings après une dizaine de jours à appartenir au Canadien, voilà que les deux familles vont habiter là où ils avaient l’habitude de passer leurs saisons mortes : Michigan (Petry) et Colombie-Britannique (Price).
Angela Price est donc bien placée pour savoir ce que son ami vit en ce moment. Le fait de voir Kent Hughes faire une fleur aux Petry a visiblement fait le bonheur d’Angela.
Sur Instagram, elle a publié une story pour mentionner à quel point elle était content de voir ça arriver. «Est-ce que c’est l’histoire la plus cool?», a écrit Angela pour parler de la nouvelle.
La femme de Jeff, qui a l’habitude de publier beaucoup sur les réseaux sociaux (et qui est à la base de la demande de transaction de son mari), n’avait pas encore commenté le départ de Pittsburgh de la famille.
Elle ne l’a pas encore fait, ceci dit. Par contre, elle a commenté, dans ses storys, le fait de voir son mari être échangé dans sa ville et prendre le numéro que son père a rendu célèbre à Detroit, le 46.
Et clairement, elle est contente.
Je ne peux pas arrêter de pleurer des larmes de joie. – Julie Petry
En plus d’avoir partagé la nouvelle, elle a parlé du fait que Jeff allait prendre le numéro de son père et elle a partagé une vidéo de Dan Petry dans laquelle on le voit parler de la fierté de le voir jouer à Detroit.
Le père, qui savait depuis quelques jours que ça allait se faire, a toutes les raisons du monde d’être content, en effet. Et à voir comment ça fait parler du CH en bien pour l’aspect humain, on comprend que le retour obtenu par Kent Hughes dépasse les cadres de la transaction en tant que tel.